Les bonheurs de Sophie (3) - Histoires de Sexe

Les bonheurs de Sophie (3)

Sophie 3 Ce soir ma mère, Gisèle, doit sortir avec Victor son amant, mais aussi le mien ! Elle s’est apprêtée depuis plus d’une heure pour être sexy. Elle porte un chemisier blanc laissant transparaître un soutien gorge pigeonnant de la même couleur. Elle porte une jupe serrée où on devine la marque des jarretelles. Ses jambes sont gainées de bas noirs à lisières. Elle est chaussée d’escarpins qui la grandissent. Le téléphone sonne, c’est Victor ! A la mine déconfite, puis en colère, de ma mère je devine qu’il y a un changement de programme. Ma mère, après avoir raccroché tombe en larmes. La vexation qu’elle éprouve est forte. Il va passer la soirée avec sa femme. Elle s’assoit dans le canapé et se met à sangloter. Je m’approche d’elle et tendrement je lui fais une bise dans le cou, puis une autre, puis une autre. Je lui susurre « On va passer la soirée ensemble, tu es d’accord ? ». Sans attendre sa réponse, je me lève pour mettre de la musique et aller chercher une bouteille de champagne au réfrigérateur. Je nous en sers deux flûtes. Je m’assois près d’elle, l’embrasse à nouveau dans le cou et lui tends son verre. Elle émerge de ses sanglots pour me dire un « merci ». Nous trinquons et buvons un verre, puis deux ! Je lui proposais de se lever pour danser, l’alcool faisant effet, elle semblait se dégager de ses problèmes. Je la pris dans mes bras pour danser une série de slows. Elle posa sa tête sur mon épaule et s’abandonna au rythme de la musique. Je la serrais de plus en ...

... plus, à sentir son corps tout contre moi, je me mis à bander, mais de travers ! Elle se serrait encore plus fort contre moi et ne pouvait ignorer mon état ! Je n’arrivais pas à y croire ! Ma mère et moi étions en parfaite fusion. C’était un rêve qui se réalisait. Elle n’avait, ce soir, aucun interdit. Même si elle était plutôt libertaire, je n’aurais jamais crus possible ce moment. Je descendais ma main jusqu’aux reins. Elle se laissa faire, elle se déhanchait pour frotter sa cuisse entre les miennes. Mon sexe roulait sur sa jambe. Elle soupirait, sa respiration était plus rapide, sa poitrine durcissait sur mon torse. Je fis descendre ma main sur ses fesses, elle soupira plus fort ! Elle était on ne peut plus chaude ! Je me penchais pour déposer des bises dans son cou, puis remontais vers ses joues, redescendais sur ses épaules, puis je remontais lentement. Elle tourna brusquement la tête et m’embrassa sur les lèvres. La surprise passée, je fouillais sa bouche de ma langue. Nos langues se mêlèrent alors que je pétrissais ses fesses. Elle se mit à onduler du bassin pour comprimer mon sexe bandé. La musique avait changé mais nous restions collés l’un à l’autre échangeant un baiser passionné. Elle glissa sa main entre nous, attrapa ma bite. La fit rouler sous sa paume avant de me caresser les couilles. Je n’en pouvais plus, il fallait que je redresse mon sexe ! J’avais mal de bander sur le coté. Je glissais une main pour remettre ma bite verticale, nos doigts s’effleurèrent. Elle ...