La panne des sens (6)
Datte: 24/01/2019,
Catégories:
Hétéro
... initiale, prend de plus en plus de plaisir à se faire enfiler. Elle a pris appui vers l’arrière, les mains posées sur les cuisses de John et se laisse pénétrer jusqu’au fond de sa chatte. A chaque coup de rein de son partenaire, sa poitrine juvénile frémit et sa gorge laisse passer un petit râle de plaisir. Des gouttes de sueurs perlent sur son front et coulent doucement sur son visage et entre ses petits seins dressés vers le ciel. Joyce, qui a récupéré de son orgasme, décide de prendre part au festin sexuel qui se déroule devant elle. A son tour, elle grimpe sur la table de soins et colle sa bouche sur celle de la jeune indienne. Elle l’embrasse avidement puis descend vers son torse. Elle lèche les gouttes de sueur et suce les tétons durcis ce qui fait trembler la jeune fille de bonheur. Aux grognements émis par son mari, Joyce comprend qu’il ne va plus tarder à arriver. Afin qu’Amalia jouisse en même temps que lui, elle pose un doigt sur son clitoris et le titille à toute vitesse. Et l’effet escompté se produit : un formidable orage éclate au plus profond du ventre de l’indienne et le premier orgasme vaginal de sa jeune vie l’envahit brusquement. Aussitôt, John se tend comme une corde de violon et tout son sperme, si longtemps retenu, gicle au fond du vagin de sa partenaire. Lorsque les secousses qui agitent son corps se calment, Amalia se dégage et, sans se retourner, franchit la porte et va se tremper dans la rivière toute proche pour éteindre l’incendie qui brûle ...
... encore en elle. Profitant de la place libérée, Joyce empoigne le membre déjà ramolli de son mari et le lèche pour recueillir les dernières gouttes de sperme. Elle retrouve enfin ce goût qui lui a tant manqué, mélangé à celui de la cyprine d’Amalia. Elle remarque à la base de son pénis de légères marques de sang ce qui confirme que l’adolescente était vierge … et qu’elle ne l’est plus ! Joyce sait que son mari ne bandera pas une deuxième fois coup sur coup mais elle garde confiance et rêve déjà d’un retour à l’hôtel où il sera à elle toute seule. Elle se penche sur lui et l’embrasse amoureusement. — Mon Dieu que c’était bon. Pardonnes-moi, mon amour, mais je n’ai pas pu résister à ce jeune corps innocent qui s’offrait à moi … — Tout comme moi je n’ai pas pu résister au formidable pieu de chair de son père ! Comme ça, nous sommes quittes. Le principal, c’est que tu as retrouvé toute ta vigueur … et ta raideur et je compte bien en profiter le plus vite possible. Là-dessus, ils quittent la table de soins et sortent prendre l’air. La pluie a cessé et le soleil brille à nouveau. Amalia est debout au bord de l’eau, toujours aussi splendidement nue. John s’approche d’elle : — Amalia, je sais que tu me comprends. Je veux te dire combien je suis à la fois heureux et confus. Heureux car tu m’as fait un formidable cadeau en m’offrant ton corps et ta virginité. Mais confus car, dans mon excitation, je n’ai pas pu me retenir et j’ai éjaculé dans ton ventre. J’espère que cela ne portera pas à ...