1. Cauchemar ou presque… (5)


    Datte: 24/01/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    Rhoooooo dégage le soleil ! Sors de ma chambre ! Laisse- moi encore un peu dormir à l’abri dans mes rêves. Bonjour Marie, bonjour mon amie. Quelle étrange situation, me réveiller dans le lit conjugal à tes côtés. Vraiment bizarre. Et ce tendre baiser, si doux, si plaisant. J’ai presque l’impression de vraiment trompé Pierre maintenant. Pourtant je suis certaine que dans sa certitude machiste il me tuerait pour le jardinier et me demanderai de regarder pour toutes les deux. Je ne lui ai pourtant pas dis « je t’aime » au jardinier. Je ne l’ai pourtant pas embrassé ce substitut phallique. Ben voyons, mon fils et Isabelle qui nous apportent le petit déjeuner au lit. Ca n’a pas dû lui arriver depuis qu’il avait huit ans. S’il te plait Marie, ta main, pas devant… ho et puis si... Excuses- moi ma chérie, après tout c’est ce qu’il a voulu, alors qu’il se le prenne en pleine figure maintenant ! Et oui mon fils, j’ai bien vu que tes yeux se bloquaient sur la bosse sous le drap, Marie a bien sa main sur mon pubis, ça te gêne ? TAMPIS POUR TOI ! Toi, par contre Isa, ton sourire est radieux. Comme si tu avais réussi à avoir une espèce de couple dont tu rêvais. Tu le voulais vraiment de nous voir, ta mère et moi, dans le même lit, un dimanche matin, dans une espèce de famille improbable. — Ca fait plaisir de te voir aussi radieuse maman… — Tu me trouves radieuse ? — Oui, et plus reposée que jamais. — C’est ce que tu voulais Justin ? Vraiment ? — Plus ou moins, oui. — Et bien pourquoi as- ...
    ... tu l’air si gêné dans ce cas ? — Pour rien… juste l’impression de retrouver la sensation d’empiéter sur un territoire intime et un peu interdis comme quand j’étais jeune et que je venais vous retrouver, toi et papa. — Ca fait un bail que tu n’es pas venu nous apporter le petit déjeuner au lit… — Vous êtes toujours levé aux aurores maintenant. — C’est vrai… D’un autre côté je te ferai signaler que tu es toujours un jeune homme. — Si tu le dis… je ne suis pas certain qu’Isabelle partage ton point de vue mais… — Isabelle est aussi une jeune femme n’est- ce pas Marie ? — Oui, tout à fait. — Alors disons que nous sommes des jeunes enfants qui ont réussi à t’apprendre ta liberté d’adulte. — Liberté ? — Oui, la liberté d’être à nouveau une femme, et pas juste au foyer. La liberté d’accepter et assouvir tes pulsions. La liberté de ne plus voir le monde avec tes œillères, tes préjugés, mais comme il est réellement. — Parce que tu crois que c’est la réalité normale de venir porter le petit déjeuner à ta mère et son amante ? — Amie… ton amie maman, et tu as eu une relation sexuelle avec ton amie parce que tu en éprouvais le désir. Ca ne t’empêche pas d’aimer papa ou moi, mais au moins tu ne seras plus en manque… — Manque… tu parles comme s’il s’agissait d’une drogue ou d’un besoin essentiel. On peut vivre sans sexe, tu sais Justin ? — Survivre maman, vivre c’est autre chose. Maintenant tu vis, hier soir tu vivais quand tu as crié de plaisir. — Peut- être… mais que crois- tu que ton père ...
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