1. Colocation - La suite


    Datte: 25/01/2019, Catégories: fh, ffh, jeunes, alliance, copains, boitenuit, amour, noculotte, facial, Oral 69, pénétratio, amourdura, consoler, couple+f, Inceste / Tabou

    Ah ! les vacances de Noël ! C’est un moment très attendu par les étudiants, car il marque la fin du premier trimestre, et surtout ce sont les vacances. Pour nous, Julie et moi, ce fut un véritable cauchemar. Cela faisait presque un mois que notre idylle avait commencé et, déjà, nous devions nous séparer pour passer les fêtes avec nos parents respectifs. Ma cousine était toujours aussi gourmande de sexe, mais la tristesse se lisait à chaque instant dans ses yeux. Elle redoutait qu’à notre retour les choses ne soient plus les mêmes, que je ne l’aime plus, que je rencontre quelqu’un d’autre… J’avais beau dire et beau faire, rien ne lui remontait le moral. L’ambiance au studio était redevenue pesante, pour un peu on se serait cru au début de notre cohabitation. Le soir précédent notre départ, elle était tellement tendue que nous n’avons même pas fait l’amour. Le matin, nous nous sommes séparés presque sans un mot. Elle me fit juste une bise, les yeux emplis de larmes, avant de se sauver comme une voleuse, prétextant être en retard pour prendre son train. Le mien n’étant qu’en fin de journée, je passai la journée dans l’appartement à tourner en rond comme un lion en cage. Les heures me paraissaient interminables. J’avais hâte de rentrer chez moi car je ne supportais plus de rester dans cet environnement où tout me rappelait Julie. Enfin, l’heure de mon train arriva. Pour passer le temps durant le trajet, j’avais pris un livre, mais je n’arrivai pas à me concentrer. Je dus relire ...
    ... trois fois le premier chapitre pour me rendre compte que cela ne servait à rien. Ce fut horrible de dire bonjour à mes parents, rejoindre leur voiture et faire le chemin pour rentrer à la maison. J’étais content de les revoir, mais je n’avais qu’une hâte, c’était de téléphoner à ma cousine. Prétextant ne plus savoir si on avait bien fermé le gaz, je téléphonai à Julie. — Allô, Julie ?— Oui, comme je suis contente d’entendre ta voix. Tu me manques déjà tellement !— Tu es seule ?— Oui, et toi ?— Mes parents sont dans le salon, je leur ai dit que je ne savais plus si on avait bien fermé le gaz.— Moi, j’ai dit que j’avais un copain qui s’appelait Christophe, comme ça on pourra se téléphoner le soir.— Bon OK, alors je te rappelle tout à l’heure, vers minuit, quand mes parents seront couchés.— OK, à tout à l’heure, me dit-elle, je suis désolée pour ce matin.— Ce n’est pas grave, à ce soir. Ce fut la journée la plus longue de ma vie. Moi qui croyais qu’une heure de cours d’économie ressemblait à l’éternité, là je prenais enfin conscience de ce qu’était réellement l’éternité. Plus on se rapprochait de minuit et plus la trotteuse de ma montre devenait paresseuse. Elle semblait rester accrocher infiniment à chaque seconde. Comme s’il ne suffisait pas que le temps se fige, mes parents me saoulaient de questions sur la fac, la colocation, s’ils ne me manquaient pas trop, si Julie n’était pas trop chiante etc. Vingt-trois heures, ça y était, le sprint final commençait. Il restait moins ...
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