1. Séverine, directrice et esclave. (6)


    Datte: 25/01/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    Suite : En arrivant sur place, je me rends compte que l’homme bien en question est un immense black ! J’espère sincèrement qu’il sera en effet un homme bien parce que sinon, il va me déchirer en deux ! La discussion s’engage entre lui et le Président et, régulièrement, le SDF me regarde comme si j’étais un casse-croûte dans une vitrine qu’il s’apprêtait à dévorer. Et c’est exactement ce qu’il a fait ! Après que Robert lui ait donné le feu vert, l’homme s’est approché de moi et s’est excusé au nom de la « communauté des clochards » pour le comportement de ses collègues envers moi aujourd’hui. Puis, sans rien me demander, il s’agenouille, soulève ma jupe et contemple mon sexe nu et offert. Il le sent de très près, passe un doigt entre mes lèvres puis me retourne et fait de même avec mon anus qu’il sent et caresse. — Je sens que la journée a été longue pour vous, très chère. Mais je sens aussi que vous êtes une grande amatrice de sexe et que, même si vous semblez excitée, le plaisir vous a fait défaut aujourd’hui. — Ce n’est pas entièrement faux… répondis-je, un peu surprise par un langage si soutenu. — Dans ce cas, laissez-moi m’en charger, voulez-vous ? A peine ai-je acquiescé de la tête que le SDF pose un premier baiser sur mon sexe. La suite n’a été que pur plaisir, pour la première fois de l’après-midi. Il a été très doux et a pris son temps car j’avais du mal à retrouver le chemin de l’excitation. Mais finalement, ses baisers, ses caresses et surtout sa manière de renifler ...
    ... mes effluves intimes et de s’en extasier ont fini par me libérer. Il m’a léché divinement le sexe ainsi que l’anus sur lequel il s’est attardé très longtemps. Il m’a doigté et caressé, jouant comme un pro avec un orgasme qu’il faisait monter puis descendre en moi. Ces doigts longs et épais, endurcis par la vie dans la rue, me fouillaient en profondeur, c’est à la fois dans ma chatte et dans mon cul qu’il me pénétrait sans aucune douleur. Il a enfoncé jusqu’à trois doigts dans mon sexe et deux autres dans mon anus si bien que je me sentais autant pénétrée que durant une double pénétration, mais sans la moindre once de douleur, de soumission ou de brutalité. Ses doigts entraient en moi avec une légèreté et un érotisme qui tranchaient terriblement avec le contexte, à savoir une ruelle sombre et puante. C’est finalement avec une langue diabolique sur mon clito et des doigts profondément enfoncés dans mes deux orifices que j’ai joui, incapable de résister à autant de plaisir venant d’autant de secteurs de mon intimité. Encore tremblante de plaisir, je me redresse pour m’approcher de la bosse monstrueuse qui déformait son pantalon afin de lui rendre la pareille. Mais le SDF me retient en me disant : — Non, merci, Séverine. Vous m’avez offert un plaisir immense aujourd’hui en me permettant de profiter de vos charmes. Je n’ai besoin de rien d’autre. — Mais… si vous ne le faites pas pour vous, faites-le pour moi… Vos… charmes m’intéressent également, insistais-je en pointant son sexe ...
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