1. Trois sœurs: Roxane


    Datte: 25/01/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur,

    ... manqua même l'étrangler. Le pire, c'était quand le dernier avait fini de se vider les couilles et qu'ils étaient tous partis en rigolant et en se disant à demain. Son corps retrouvait ses sensations et elle sentait alors la douleur. Elle était si fatiguée qu'elle avait du mal à tenir debout. Le foutre coulait le long de ses jambes. Elle n'arrivait pas à marcher normalement. Elle était forcée de tenir les cuisses ouvertes, tant sa chatte était gonflée et meurtrie. Elle pleurait beaucoup. L'homme la ramenait et systématiquement la violait dans la voiture, la traitant de tous les noms et lui promettant que le lendemain elle aurait encore plus de « clients » à satisfaire. Une fois rentrée, elle était autorisée à se coucher, souvent sans même avoir été nettoyée. Ce n'est que le lendemain matin que je la lavait et désinfectait ses orifices avec une solution antiseptique. Le reste de la journée, elle la passe à satisfaire Pierre, Kevin, Lorenzo et moi. Avant qu'à vingt et une heures la voiture vienne la prendre pour la conduire au squat où une nouvelle file d'hommes l'attendent déjà. Et puis, un soir, une semaine après le début de son abattage, c'est moi, son propre père, qui l'accompagne au squat. Je suis tellement excité que dans la voiture qui nous y conduit je lui demanda de me faire une fellation. Elle porte une jolie robe noire, très courte, et des bas-résille. Elle est maquillée. Je sors ma queue et la caresse. Elle se penche et prend la bonne bite de papa dans sa bouche. Il ...
    ... y a un autre homme sur la banquette arrière. Tous les soirs il accompagne Roxane, il mate, et quand elle est remplie à ras bord de foutre il la baise sur le chemin du retour. Il a glissé une main sous l'ourlet de la robe et il caresse la chatte boursouflée et tuméfiée. « Oui, salope, suce-moi bien... », dis-je à ma fille. Elle a enveloppé le gland paternel de ses lèvres fardées et la queue grossit dans sa bouche. L'autre lui triture la chatte. Il lui demande de se soulever un peu et il lui enfonce deux doigts dans le trou du cul. « La salope mouille? » je le demande à mon compère. L'autre rit. « Pas encore, mais plus tard vous allez voir! Un vrai trou à bites! » « C'est ma fille ». « Oh, je vois, vous savez comment éduquer les enfants. » Ont continuent à discuter. Quand je sens que je vais jouir, je prend la tête de Roxane et je m'enfonce profondément dans sa gorge où mon sperme gicle par saccades. Elle avale, comme je lui ai appris, et ma fille s'essuie la bouche quand je la repousse. « Il faudra lui remettre du rouge à lèvres », dit l'autre. Elle regarde ses genoux, gardant les cuisses écartées et la robe retroussée sur son ventre. Je lui mit à mon tour mes doigts dans sa chatte et ont joue avec elle jusqu'à ce que la voiture se gare devant l'entrée du squat. C'est toujours à ce moment qu'elle est saisie de terreur. Paralysée. Il faut la pousser vers l'escalier, puis l'aider à gravir les marches. Une trentaine d'hommes attendent déjà à l'entrée de la pièce où se trouve le ...