1. JE VAIS FAIRE COCU MON MARI


    Datte: 25/01/2019, Catégories: Anal Mature, Sexe Interracial,

    ... négligemment afin d’offrir à mon mari, une vue imprenable sur ma culotte maculée de foutre de nègre. Je trouvais cela parfaitement indécent d’autant plus que mon pauvre mari n’y prêtait guerre attention. « Hé bien si cela ne t’intéresse pas », pensais-je en moi-même, « peut-être que Bouma appréciera davantage la vue que je te donne. Prétextant un manque de glaçons, je partis en prendre quelques-uns uns en m’essayant aux côtés de mon époux, face à Bouma.- J’ai été chercher quelques glaçons mon chéri, je sais que tu es un gros consommateur de glaçons.- Oui mon amour, je t’aime- Vous voulez aussi un glaçon Bouma ?- Volontiers madame !Je m’avançais au bord du canapé pour att****r la pince à glaçons et tout en servant Bouma, j’ouvris largement mes cuisses mais de façon à laisser penser que cela était involontaire.- Un deuxième ?- Heeuu oui, vous savez ils fondent vites les glaçons devant une boisson aussi agréable- Tenez alors, ne laissons pas fondre votre glaçon trop vite (tout en écartant bien ses cuisses de femmes de bonne famille.) Je me risquais à lui sourire mielleusement sans que mon mari puisse s’en apercevoir.Le salaud en profitait pour constater que j’avais remis la culotte souillée de son foutre car il me répondit : « les bonnes choses ont besoin d’être partagées et appréciées » et répondit à mon sourire.Soudain le téléphone sonna, c’était pour Jean, probablement un problème d’organisation pour la visite monastique de demain ou un de ces nombreux passionnés de reliures ...
    ... ennuyeuses à mourir. En effet, il enfila sa veste en s’excusant auprès de Bouma mais qu’il devait chercher l’historique de l’abbaye des Florentins chez son ami Emint. Je restais donc seul avec Bouma.- Votre mari semble souvent occupé Madame- Oh mon cher Bouma, vous savez, mon mari a oublié depuis longtemps qu’il était marié- Pourtant, lorsque l’on a la chance d’admirer vos charmes, difficile d’oublier !- Oh Bouma, mais de quoi me parlez-vous ? (je savais cependant de quoi ce salaud parlait)- Hé bien, je crois avoir reconnu quelque chose- Ah oui ? (prenant un air puritain et intéressé)- Oui Madame, et je crois que vous le portez admirablement- Vous parlez de ma culotte que dans laquelle vous avez eu le toupet de vous branler (je rougis en prononçant ce mot à châtier de mon langage) ?- Absolument espèce de salope !- Moi une salope ? Vous n’avez pas honte de vous adressez à une femme de mon rang de cette façon ? Je devrais appeler mon mari au téléphone sur-le-champ pour lui faire-part de votre façon de parler de moi !- Cela serait vraiment dommage, vous ne croyez pas ? (Dit-il tout en posant sa main sur la braguette et me montrant l’énorme bosse qui s’était formée).- Vous êtes dégouttant !- Avouez que vous n’attendez que cela.Je marquais un moment de silence ou tout se bouleversa dans ma tête, c’est vrai, il avait raison, il m’excitait ce salaud et en plus, il a l’air d’avoir un sacré morceau entre les cuisses, je lui sucerais bien la queue à ce nègre. En plus mon mari n’est pas ...
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