1. JE VAIS FAIRE COCU MON MARI


    Datte: 25/01/2019, Catégories: Anal Mature, Sexe Interracial,

    ... grossir sa sale bitte si petite soit-elle.Passons aux choses sérieusesBon, c’est vrai, je le trompe mais jamais franchement. Disons que je ne le fais pas ouvertement devant lui. L’autre fois, par exemple c’était à l’hôpital pour son examen annuel. Il avait du subir une anesthésie générale et je m’étais rendue à son chevet pour soutenir mon mari dans son douloureux rétablissement. Bien entendu, vu son état, il n’avait pas remarqué que mon petit Douma chéri, s’était généreusement propos de m’accompagner. Il était censé rester dans le couloir de l’hôpital tandis que je réconforterai mon mari dans sa chambre, mais, vu qu’il était vraiment dans le cirage, j’ai dit à Douma qu’après tout il pouvait venir se joindre moi.Bien entendu, j’avais pris soin la réception de présenter Douma comme un vulgaire voisin, prétextant une panne stupide de voiture. Je n’allais tout de même pas leur dire que cette salope de femme marie que j’étais, et qui plus est, mère de famille et de milieu aisé, rêvait de faire enculer par un noir devant son mari ! Un minimum de respect tout de même, après tout, je revenais tout juste de la messe !Tandis que je m’avançais vers le lit, je pris la main de mon cher mari en le réconfortant « mon chéri, ça va aller, je vais m’occuper de toi »,au fond de moi, j’avais envie de lui dire : « Ne t’inquiètes pas mon chéri, Bouma s’occupe de moi, il m’engraisse bien le trou du cul (même si je n’ai jamais ose franchir le pas, vu que je trouve cela existant mais franchement ...
    ... sale), et des fois, quand je suis pressée, j’aimerai qu’il me baise même tandis que je prépare le diner ou le journal télévisé. J’avoue que si mon mari à une petite quequette, j’aime bien me faire lécher la raie pendant la météo, ca m’évite d’avoir à perdre mon temps dans la salle de bain »Donc, je pris sa main, et en m’avançant, je me penchais en avant vers lui, et en posant un genou sur le matelas, je m’approchais pour déposer une tendre bise sur le front de mon cocu de mari. Je ne voulais pas m’asseoir sur le lit pour ne pas froisser mon tailleur gris chiné, alors je me suis cambrée. Ce fut Bouma, (et non mon mari), qui eu le meilleur point de vue sur mon postérieur de bourgeoise.Sous prétexte de prendre soins de mon mari, je donnais bonne conscience à ma position même si cette dernière, le cul bien en l’air, moulé par mon tailleur, pouvait paraitre franchement indécente, mais bon, après tout, mon mari ne voyait rien alors je ne faisais rien de mal.Bouma, tout en me demandant comment allait mon mari, commençait me peloter le derrière en même temps. Je sentais sa grosse main noir agacer le bas de mon tailleur et qui cherchait le retrousser un peu.- Alors, il va bien Madame ?- Ma foie, je pense qu’il faudra que je fasse une petite prière pour lui ce soir, pour l’aider se remettre, mais je pense qu’il a besoin de se reposer.Quelques mots sans cohérences s’échappaient de la bouche de mon mari alors je lui demandais d’articuler du mieux qu’il pouvait. Je trouvais amusant le fait ...
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