Un week-end passionné
Datte: 26/01/2019,
Catégories:
ffh,
jeunes,
inconnu,
facial,
Oral
fgode,
pénétratio,
fsodo,
... entendre baiser. Nous avions fait la grasse matinée et c’est vers onze heures que nous nous sommes réveillés, d’abord Jessica puis moi. Elle s’assit sur mon ventre, laissant ma queue raide lui caresser la raie des fesses. Je l’ai embrassée, enfonçant profondément ma langue dans sa bouche, tout en lui caressant les seins. Prenant ses mamelons entre le pouce et l’index de chaque main, je les faisais rouler entre mes doigts pour les sentir gonfler et durcir. Il faut dire qu’elle avait des mamelons superbes, d’une taille à faire envier plus d’une matrone. Ils devaient approcher le centimètre et demi de long et étaient larges comme une pièce de vingt cents. Je quittai sa bouche pour en prendre un en bouche et me mis à le téter comme un bébé. Elle ne pu s’empêcher de lâcher des petits cris de plaisir, ce qui réveilla Christine. Ouvrant les yeux, sa vue tomba directement sur mon dard qui pointait vers le plafond. Elle se plaça à quatre pattes sur le côté droit du lit et se mit à me lécher la colonne de chair pour finalement prendre mon gland en bouche. Elle me pompait comme seules savent le faire les femmes, léchant mon dard de la racine au gland, tournant autour de celui-ci, le suçant entre ses lèvres telle une sucette, le lâchant pour descendre aux couilles qu’elle gobait une à une. Pendant ce temps, Jessica, qui m’avait quitté pour se coucher à côté de moi, avait rentré trois doigts dans sa vulve et les faisait entrer et sortir. Son pouce caressait son clito gonflé comme un ...
... mini-pénis. Ses doigts luisants de cyprine glissaient de plus en plus vite et, arrivée à l’extase pure, son bassin se souleva dans un mouvement saccadé. Elle jouit dans un cri d’extase, sa vulve ouverte laissant couler son jus le long des cuisses. Je n’avais jamais vu une fille produire autant de liquide vaginal, une vraie fontaine! Me tournant vers elle, je me mis à lécher les coulées de nectar pour arriver au trou béant de son vagin que je me mis à nettoyer de la langue. Mais je dus m’arrêter, sentant ma jouissance monter dans le dard. J’explosai dans la bouche de Christine, lui projetant mon foutre dans le fond de la gorge. Elle me garda en bouche, le temps de déglutir deux, trois fois, puis me lâcha pour venir m’embrasser sur la bouche, me laissant goûter les restes de mon propre sperme. Jessica avait entre-temps pris le relais et, prenant en bouche mon dard redevenu limace, elle s’appliqua à le faire reprendre une forme convenable. Ce qui lui réussit au bout de quelques minutes. Elle s’était mise à quatre pattes, jambes écartées, le cul bien haut, ce qui donna l’idée à Christine de venir se placer derrière elle pour lui manger la moule. Sa langue lui léchait la raie des fesses, insistant de la pointe sur son petit trou. Elle descendait ensuite pour écarter les lèvres humides et lui enfoncer le muscle buccal dans sa vulve, pour revenir ensuite au cul qu’elle lécha en faisant tourner sa langue telle les aiguilles d’une montre. La pastille brune bien lubrifiée, elle y enfonça ...