1. Prendre un Uber...


    Datte: 26/01/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... cette petite voix qui dit : "Il était pas mal, canon même, il avait l'air d'avoir un sacré beau petit cul, il avait envie de toi, il t'a laissé sa carte. Bah, vas-y appelle et envoie-toi en l'air, ça peut pas te faire de mal...". Vous voyez ce que je veux dire ! Au début, j’ai résisté, puis de moins en moins, au final, j'ai ressorti sa carte et, rien que de la voir, j'ai bandé un peu. Je l'ai rangée puis ressortie jusqu'au moment où j'ai appelé : "Salut, tu m'as filé ta carte l’autre matin, tu te souviens ?", "Ah ouais, grave ! Tu veux quoi ?", "Bah, je sais pas, on peut se voir non ? ","Ça peut se faire, là, je suis en course mais je décroche vers 20h, je te rappelle si tu veux", "On fait comme ça". 10 minutes après, je recevais un texto : "Actif ou passif ?", ça m’a donné la pèche et la trique : "Plutôt actif mais open et toi ?", "Pareil ! Gay ou bi ? ", "Bi et toi ?", "Pareil. On va bien s'entendre je pense", "On va surtout bien s'éclater..". On s'est échangé des textos comme ça pendant un moment, ça nous avait bien chauffé ! 20h15, il appelle : "Salut, t'es toujours OK ?", "Carrément ! On se retrouve où ?", "Bah, chez toi si possible, chez moi, y'a du monde !". Je lui ai filé mon adresse, il est arrivé 20 minutes plus tard. Il a sonné, j'ai vite ouvert mais ma connasse de voisine de palier a ouvert en même temps, histoire de bien voir qui vient chez moi pendant que ma compagne est absente, on sait jamais si elle pouvait foutre la merde dans mon couple cette mal baisée ! ...
    ... Je la salue froidement, elle se fend d'un rire nerveux que je déteste et disant : "Oh excusez-moi, j'ai cru que ça sonnait chez moi.". Tu parles, une vieille fille acariâtre qui n'a peut-être jamais vu le loup, qui veux-tu qui sonne chez elle le soir à 20h30 ? "Vous avez du monde ce soir ?", "Ben oui, ça se voit, un ami. Ne vous inquiétez pas, on ne fera pas de bruit ! ". Jamel entre et je referme la porte en la claquant un peu pour que l'autre comprenne bien que je n'aime pas qu'elle se mêle de mes affaires. Du coup, Jamel hésite, il est prêt à parler et je sens qu'il est fébrile. Je le plaque contre le mur, je l'embrasse à pleine bouche et commence à lui caresser la poitrine. Il répond par des caresses et accueille ma langue dans sa bouche, elle s'enroule autour de la sienne, mes mains passent sur ses fesses, je les malaxe, il en fait autant, nos bites se frottent l'une contre l'autre et, même à travers nos jeans, on sent bien qu'on bande. On commence à se déshabiller, les sweats et les T-shirts volent dans le salon. On se déchausse et on balance les chaussures. Déjà je le pousse dans la chambre en lui donnant des coups de torse pour le faire reculer et en le guidant de mes mains, les boutons de nos braguettes sautent les uns après les autres, les pantalons nous tombent aux genoux. Dans la chambre, je le fais tomber sur le lit, je lui enlève son pantalon et le mien suit le même chemin ainsi que nos chaussettes. Nos boxers sont déformés par nos gaules, je me jette sur lui ...