Plan de carrière
Datte: 27/01/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... l’intensité de mouvement doucement d’abord et puis s’accélérant et puis ralentissant tour à tour. Je senti sa langue sur mon clitoris. Elle le sollicita doucement d’abord de quelques coups de langue en experte qu’elle était. Je l’avais soupçonné dès le premier instant de ne pas détester son propre sexe pour les jeux auxquels nous nous livrions et je vérifiai que si la fellation de toute à l’heure prodiguée à Pierre semblait lui faire un effet sans pareil, mon clitoris ne pouvait se défendre d’éprouver à son tour beaucoup de bonheur. C’était nouveau pour moi et je n’aurai pas accepté si la chose m’eu été proposé dans d’autres conditions. Mais offerte, contrainte, sans défense et dans l’impossibilité d’échapper à leurs désirs, je ne pouvais que m’abandonner et profiter pleinement de leur savoir et du plaisir qu’ils donnaient et pour lequel ils semblaient tout deux passés maitres. Je suçais longuement sans pourtant obtenir de Pierre la jouissance qui m’aurait donné le gout de sa semence, j’étais si excitée que la chose m’eu cette fois fais plaisir alors que le je refusais habituellement à mes partenaires. Il ne me le donna pas, mais changeant de place, il poussa délicatement Marie et demandant son aide il lui fit guider sa verge dans mon anus qui était jusque la resté vierge de nul autre pénétration que mes doigts. Ce fut une révélation et je poussais sur mes jambes pour sentir plus profondément encore toute la longueur et l’ampleur du membre viril qui me possédait. C’était à la ...
... fois douloureux et délicieux, Marie appréciant le spectacle lui glissa dans l’oreille des mots que je n’aurais pas crus possible d’entendre de sa bouche. Vas y défonce lui bien le cul à cette salope, elle aime çà regarde. Et ces mots ne me choquèrent pas, ils augmentèrent encore mon excitation ce que je n’aurais pas cru possible. J’eu en effet l’envie d’être plus salope encore, d’être plus contrainte, plus soumise, et violée, puisque je sentais une jouissance si grande qu’inconnue de moi, je la sentais venir et monter, eux aussi le sentais et les mots de Marie n’avaient que pour seul but de donner plus de puissance à ce qui arriva alors. Je poussais un cri et lâchait en ondées puissantes de larges jets d’écumes qui inondèrent les cuisses musclées de Pierre et la couche ou nous étions. Marie riant de voir cette si parfaite communion, approuva et dit : Tu es retenue pour le poste et tu vas désormais jouir et nous faire jouir, je veux voir ton plaisir comme cela tout les jours ou nous travaillerons ensemble. Lorsque je rentrais chez moi en taxi bien plus tard dans la soirée un sourire éclaira mon visage. J’allais augmenter mon salaire, obtenir un poste important qui ferai évoluer ma carrière, mais surtout, je devinais que chacun de mes sens seraient comblés, chacun de mes trous visités régulièrement, avec savoir, que mon clitoris serait fatigué chaque soirs et que de retour chez moi, je me reposerai du travail accompli avec le sentiment d’être une vraie femme d’affaires dont la ...