Sophie se découvre et regarde
Datte: 28/01/2019,
Catégories:
f,
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
soubrette,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
facial,
pénétratio,
Sophie continue sa journée, perdue dans ses pensées et ses souvenirs, préparant à la hâte les bagages de Madame. Un coup de téléphone du Capitaine l’a en effet convoquée à la dernière minute pour un week-end de chasse. Au-dessus de la valise qu’elles s’affairent toutes deux à remplir, leurs corps jouent les hypocrites et se frôlent dans l’intimité innocente qui est habituellement la leur, celle, indifférente et empressée, de patronne et de bonne. Elles décident d’un commun accord d’oublier que ces caresses, dont la chaleur hante encore à chacune le ventre, ont eu lieu pour de vrai, et non dans un songe, il y a quelques minutes à peine. Elles se redonnent ainsi une contenance en se pliant à leur routine. Une fois que la voiture emmène Madame à la gare, Sophie se rend mécaniquement à l’office pour le dîner. Elle y remarque distraitement le nouveau majordome, Monsieur Pierre, solide, très grand et très raide, une cinquantaine marquée, avec une calvitie et de larges favoris grisonnants en côtelettes sur les joues. Il s’informe sur le train de la maison d’un air concentré, mais Sophie, toute à ses souvenirs et questions, qui affluent maintenant, y prête à peine attention. Elle monte se coucher, le corps frémissant, mais l’esprit tourmenté : a-t-elle fait mal ? On ne lui a jamais rien dit à ce propos, juste d’éviter les hommes. Et tout a commencé comme un simple massage, comme le voulait sa maîtresse. Mais ensuite, a-t-elle fait mal ? Pour elle-même ? Non, à elle, rien n’est ...
... arrivé, réalise-t-elle soudain avec dépit, elle a à peine été effleurée. À Madame ? Elle n’a fait que lui obéir. Au Capitaine ? A-t-elle aidé Madame à tromper son mari ? Elle n’est pas un homme pourtant, était-ce un crime alors ? Au bout du compte, démunie face à ses questions et supposant que, tant que son secret est sauf avec Madame, rien de grave ne peut se produire, Sophie se concentre sur ses souvenirs. Elle est encore remplie du trouble d’avoir goûté au corps de Madame Arlette et de l’avoir atteinte au plus profond avec sa langue. Elle ne réalise pas exactement ce qu’elle a fait, mais elle a vu culminer sa maîtresse dans une sensation dont elle n’avait pas idée elle-même. Était-ce possible qu’elle aussi soit ainsi transportée ? Était-ce comme cette chaleur qui l’avait surprise quand Madame Arlette lui avait effleuré la poitrine ? Et, les yeux fermés dans la nuit, son corps maintenant éveillé et toujours sous l’influence de son après-midi, ses mains lui rendent à son tour ce qu’elle a donné à Madame Arlette. Elle laisse ses doigts s’aventurer sur la coque soyeuse qui sépare ses jambes, appuyant doucement sur son pelvis. Son poignet vient naturellement se poser sur ce mont et plonge plus profondément. Son index et son majeur suivent, un peu timides, le contour de son intimité de l’extérieur, descendant jusqu’au doux creux de ses fesses, le sillon où ses deux globes se rencontrent et se serrent. Elle l’explore lentement, ses doigts rebondissant entre les parois charnues. Mais, ...