Weekend avec ma belle-soeur (2)
Datte: 28/01/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... ma copine pour l’embrasser et la remercier encore pour ce merveilleux cadeau. — Je t’aime plus que tout, me répond-elle alors comme unique justification à cela. Puis, alors que Léa quittait la salle de bain en se dirigeant vers le salon, ma copine l’interpelle : — Tu veux bien dormir avec nous ? — Avec plaisir sœurette ! Pousses-toi, le beauf !! Nous nous endormons alors ensemble, épuisés, moi entourés de mes deux maîtresses de la soirée qui ont posés chacune leur tête sur mon torse. Après une courte nuit de sommeil, j’ouvre les yeux alors que le soleil est à peine levé et vérifie tout de suite la présence de Léa. Elle est là, à côté de moi, entièrement nue. Ce n’était donc pas un rêve ! J’ai immédiatement une érection et je commence à la caresser. Utilisant les techniques que j’ai mis au point avec (ou plutôt sur) elle il y a quelque temps déjà, j’arrive à la peloter et la doigter avant qu’elle ne se réveille. Elle se retourne vers moi, ne dis pas un mot mais me sourit. Elle passe sa jambe gauche par-dessus ma taille et prend ma queue pour l’enfoncer en elle. Nous nous contentons de mouvements amples et lents pour ne pas réveiller ma copine. Puis elle glisse progressivement sur moi et joue habilement de ses hanches pour faire aller et venir ma queue dans sa chatte sans que le lit de bouge. Nous baisons ainsi longtemps puis alors que je commence à monter, elle me chuchote : — Ne viens pas en moi, préviens moi. — Hé bin, là justement, ça monte…. D’un coup de hanche, elle se ...
... retire puis s’enfonce sous le drap et se met entre mes jambes. Elle me branle et me suce pour me finir et, comme je m’y attendais, gobe ma queue pour avaler mon sperme, certes relativement peu abondant après la nuit dernière. Elle remonte à mon niveau, déglutit et me chuchote : — Quand on veut être discret, c’est bien plus pratique… Elle se replace à côté de moi et nous nous rendormons. Il est déjà tard dans la matinée lorsqu’enfin nous émergeons tous. Nous nous rendons à la salle de bain à tour de rôle sans nous balader à poil et sans allusions à la soirée d’hier. Le petit déjeuné est on ne peut plus classique et on échange des banalités. Puis enfin, ma copine prend la parole à propos d’hier : — Bon, pour hier, c’était excellent mais ça n’arrivera plus. Et surtout, on ne doit jamais en parler. Papa et maman nous tueraient… Et ils te tueraient ensuite, rajoute-elle en me regardant. Nous acquiesçons elle et moi mais avec son pied sur mon entre-jambe pour me caresser la queue, j’ai du mal à croire en la sincérité de Léa ! Après le repas de midi, Léa nous dit qu’il faut qu’elle rentre chez elle et nous nous quittons en nous faisant la bise, comme si de rien n’était. Sitôt la porte fermée et la voiture de sa sœur partie, ma copine me dit : — Bon, je suppose que tu vas essayer de la baiser à la moindre occasion ? — Hein ? Mais non, je… — Te fatigues pas, mon chéri, même si toi n’essaies pas, elle te sautera dessus dès que j’aurais le dos tourné et finira pas obtenir ce qu’elle veut. ...