1. Henri, l'exposition de peintures (1)


    Datte: 28/01/2019, Catégories: Hétéro

    ... avance heure après heure. Il est midi, je l’invite comme d’habitude à partager mon déjeuner. Il accepte et sans aucune gène vient manger sans même se rhabiller, la nudité n’a pas l’air de le déranger. Son corps musclé si proche de moi est d’une telle sensualité que je commence a ne plus le voir que comme un simple modèle. Je lui prends la main, il me regarde avec tellement de gentillesse que je ne le vois plus comme le sujet de mon tableau, il se dégage de cet homme une sensualité incroyable. Je dois lui faire le même effet quand je remarque la croissance exponentielle de sa verge, je suis complètement hypnotisée par la progression de ce formidable pieu qui décolle de ses cuisses et se redresse jusqu’à venir toucher son bas-ventre. Il m’avoue. — Excusez-moi si je réagis comme vous le constatez mais vous me plaisez beaucoup. Les dimensions prisent par cette queue sont vraiment phénoménales, le gland complètement décalotté dépasse de 5 centimètres son nombril et la grosseur de ce phallus est tout bonnement monstrueuse, je ne croyais pas que ça pouvait exister. Complètement déboussolée, j’essaie de me contrôler et lui lance. — Bien, il est temps de s’y remettre! Sans se décontenancer, il se lève son énorme mandrin regardant le ciel battant la mesure à chacune de ses pas et va reprendre la pose sur l’estrade. Je reconnais que cet homme me trouble. Je me remets de mes émotions et retourne derrière ma toile me concentrant sur mon œuvre en attendant que la pression retombe aussi ...
    ... bien dans nos têtes que dans cette colonne de chair. 5 minutes se passent mais son désir ne faiblit pas. La verge de mon modèle est toujours aussi dure et fièrement dressée. Il doit me désirer très fort. -Vous ne voulez pas qu’on tire un coup, vite fait, dans votre atelier ? Cela me ferait du bien, et à vous aussi, sans doute et ça me permettrais de débander. — Non, et ça suffira pour aujourd’hui, vous pouvez vous rhabiller, je vous attends demain pour huit heures. Il se rhabille un peu déçu et me dit à demain. Une grande partie de la nuit j’ai tourné dans mon lit cherchant le sommeil, mes pensées tournant en boucle sur Henri et son énorme chibre. Le lendemain, nous reprenons de bonne heure afin de profiter de la fraîcheur matinale. J’ai eu tellement chaud hier aussi bien par la température de four de l’atelier que par l’effet qu’Henri a sur moi que je n’ai comme seuls habits qu’un petit top et une jupe de coton. Il reprend la pose et au bout de quelques minutes, j’assiste de nouveau à la montée exponentielle en érection de cette colonne pharaonique. Je ne peux travailler sérieusement l’esprit paralysé par cette vision, il faut que je fasse quelque chose, je m’approche de lui et l’informe. — Je vais m’occuper de cette trique monstrueuse car je ne peux pas me concentrer sur ce que je peints. Je pose ma main droite sur sa verge et le masturbe lentement, ma main monte et descend sur sa hampe si longue, je n’arrive même pas à l’entourer toute entière, elle est trop grosse. C’est à ...