Une sœur, une mère (1)
Datte: 28/01/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... corps, c’est bon. Si j’étais un chat je crois que je ronronnerais … BANG ! Je me réveille en sursaut. Ma mère fait un boucan pas possible en bousculant des affaires dans la salle de bain. Je suis déçu, tout cela n’était qu’un rêve. Ma sœur, qui elle, apparemment ne dormait pas, se moque de moi… Je m’en fiche un peu car un combat très étrange s’est engagé en moi : Lui parler ou non de mon rêve, le désir ou la raison ? — Ju ! — Oui ? — Non rien… — Dit ! — Non ! — … Action ou Vérité ? Instinctivement, je choisi Vérité, mauvaise pioche, tout de suite je regrette mon choix. — Dis-moi ce que tu voulais me dire ! — Bon d’accord, mais écoutes, je n’veux pas que tu trouves ça bizarre ou quoi que ce soit… D’accord ? — Oui ! — Bah il y a à peine 5 minutes, je rêvais de nous deux, on avait continué l’action vérité et tu me faisais un massage. Elle se mit à rire comme jamais, je ne puis m’empêcher de rigoler avec elle. Après avoir repris son souffle, elle parle enfin : — … C’était bien, t’as kiffé ? — Euuuuh, ce n’était qu’un rêve, et je trouvais ça bizarre de te le dire. Tu aurais pu penser que… — Action ! Encore euphorique, je dis, cherchant à déconner : — Fais-moi un massage… Elle le prend au mot, elle retire ma veste et me retourne sur le ventre, et comme dans le rêve, me chevauche sur les cuisses. Mais c’est beaucoup mieux que dans le rêve, étant à cheval, sa nuisette remonte légèrement laissant sentir ses fines jambes nues. Je ne les vois pas, mais je sens sa peau si douce ...
... glisser contre moi. C’est d’autant plus agréable lorsque ses mains chaudes se mettent à parcourir mon dos de la nuque au coccyx. Ce n’est pas réellement un massage mais plus un florilège de mille caresses. De temps à autre elle replie ses doigts et parcourt ma colonne vertébrale de ses dix ongles. Je commence à avoir le bâton tout dur. C’est là qu’elle me susurre à l’oreille : — Replaces-toi sur le dos s’il te plaît ! — Non continues… encore un peu encore ça… s’il te plait ! En réalité je n’avais rien contre me retourner mais je craignais sa réaction. Avec le barreau qui se dresse dans mon caleçon, ça ne passe pas inaperçu, si vous voyez ce que je veux dire. — T’aimes tant que ça ? — Bah c’est un massage, comment veux-tu que ça me déplaise ? — Je le fais peut-être mal. Mais ça m’étonnerait puisque tu ne veux pas te retourner, c’est que tu veux cacher quelque chose… — N’importe quoi ! TOC TOC TOC ! D’un bond impressionnant Julie plonge sous ses couvertures. — Vous faites quoi les jeunes ? Il est tard et demain y’a du boulot ! — ON PARLE ! (en chœur) La porte s’ouvre. — Dans 30 minutes je repasse et je ne veux plus entendre un bruit… Je sais que ça va être difficile pour toi Mat’, comme tu ronfles ! — Ah, Ah, Ah ! Et tu te crois drôle m’man ? J’avais un peu honte. Vous savez comme quand votre père ou votre mère étale leurs talents d’humoriste devant votre petite copine que vous avez invitée à diner ! — Oui, regardes ta sœur, elle glousse comme une poule ! Bon allez bonne nuit les ...