1. La blonde au frigo !


    Datte: 28/01/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail grosseins, groscul, Oral fgode, pénétratio, fsodo, aliments, totalsexe,

    Stage en entreprise, ont-ils décidé. J’ai proposé à ma collègue de revenir sur les lieux d’un de mes boulots d’étudiant, le laboratoire de boucherie d’une grande surface. Nous sommes accoutrés comme les employés de ce service, elle me fait bander à longueur de journée quand je la regarde, enserrée dans sa blouse blanche, opulente comme la charcutière de mon quartier que je matais avec envie quand j’avais douze ans ; rose, toute en poitrine, la peau tendue et lisse, le rire aguichant. Son décolleté en V laisse voir le pli entre ses mamelles énormes dans lequel roulent les perles de son collier, elle maintient à distance tous les bouchers qui salivent par son port d’intello, ils ignorent que nous nous connaissons. Nous nous retrouvons souvent dans les chambres froides au prétexte que je connais les lieux et que je dois lui expliquer comment gérer les stocks. Dès que la porte se referme sur nous, je jette mes mains sur sa lourde poitrine que je pelote avec frénésie, tandis qu’elle se pâme en ouvrant sa bouche et en promenant vicieusement sa langue sur ses lèvres. Planté derrière elle, je plaque mon chibre en émoi dans sa raie culière et je balance des coups de bas-ventre qui l’énervent sans la satisfaire ; alors pour m’excuser du manque de temps je lui enfourne ma langue et bouffe la sienne en baisers fougueux et vulgaires. Nous ressortons toujours avec l’air naturel, sauf que ma bite me fait mal et que sa chatte mouille. Un soir, on nous enferme dans le magasin pour effectuer ...
    ... un inventaire ; réouverture des portes à six heures. J’ai passé l’après-midi à bander comme un âne à l’idée de ce que nous allions pouvoir faire. Nous voici dans la chambre froide surpeuplée d’énormes carcasses de bœufs de 800 kg. Pour lui montrer ces monstres, je suis obligé de pousser de toutes mes forces sur ces carcasses sans tête et dépecées, la chair est lisse et douce. Je frappe sur les cuisses monstrueuses et les palpe pour émoustiller la belle ; elle fait de même en riant d’un rire coquin. Nous jouons un instant à cache-cache dans la pénombre, mon désir est immense, ma queue dressée dans mon pantalon à petits carreaux noirs et blancs. Elle me provoque en enlaçant un bœuf et en lui donnant des coups de bassin. Je m’approche, ses seins sont tendus, ses bouts pointent de froid mais aussi d’envie, je l’embrasse à pleine bouche, nos salives se mêlent, son pubis frotte mon sexe, elle est chaude et dure la femelle. J’ouvre lentement sa blouse, bouton après bouton, ses seins apparaissent peu à peu, laiteux et fermes. Je les lape à petits coups de langue, puis je les extrais de leurs bonnets et je les bouffe, bouche dévoreuse. Puis je suce délicatement les bouts durs et grossis, elle geint sous ces caresses humides et me presse la tête sur ses outres chaudes et élastiques. Une de mes mains froides plaque, sous sa blouse remontée, sa cuisse généreuse et musclée, je pince, je triture comme un beauf, elle m’excite par des : — Oui, sois brute, fais-moi mal, j’ai envie de toi. Sans ...
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