1. Alerte à la pollution dans la rue du Grand Chêne bleu


    Datte: 29/01/2019, Catégories: fh, grp, hagé, fagée, frousses, extracon, voisins, grosseins, groscul, poilu(e)s, campagne, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral préservati, pénétratio, fdanus, échange, Partouze / Groupe uro, portrait, humour,

    Mais pourquoi diable toutes les fenêtres de la maison des Lefebvre étaient-elles grande ouvertes ? Pourquoi Annie Lefebvre agitait-elle les bras dans ma direction pour que je ne bifurque pas dans le chemin de terre, que j’allais emprunter par ce magnifique dimanche estival, pour une grande marche à travers champs ? — Que je suis contente que vous passiez par là, mon cher Pierre ! Vous parlez d’une aventure, toute ma maison est imbibée d’une très forte odeur d’essence et je n’arrive pas à joindre mon mari qui est parti à une bourse d’échange de timbres de collection. Je n’ose même pas allumer ma cafetière électrique de peur d’une explosion. Effectivement, une odeur nauséabonde d’hydrocarbures envahissait les lieux. Annie Lefebvre croyait son mari responsable. Le brave homme avait nettoyé la veille le salon de jardin et les bains de soleil, avec une éponge trempée dans un seau de détergent. D’après elle, il avait dû évacuer le liquide souillé dans la cuvette des WC, pour se simplifier la vie et toutes les vapeurs étaient remontées par les canalisations. L’hypothèse étant plausible, je pris l’initiative de relever toutes les plaques des puisards qui communiquaient avec le tout à l’égout pour faciliter l’évacuation des gaz. Comme elle tenait absolument à m’aider, elle plaça une brique sous les couvercles de fonte et le décolleté circulaire de sa liquette fuchsia dévoila ses mignons petits seins, libérés de toute entrave d’un quelconque soutien-gorge. Annie Lefebvre, rassurée, ...
    ... décida de remettre ses tâches ménagères à plus tard car elle tenait absolument à ce que je partage avec elle, sa première tasse de café du matin. C’était une femme très volubile, sympathique et toujours de bonne humeur. Elle était animatrice de ventes dans les supermarchés, pour une grande marque d‘apéritif. Assez courte sur pattes, Annie Lefebvre avait un look assez particulier pour une dame qui devait avoir à peu près mon âge, la petite cinquantaine : des cheveux coupés très court, décolorés carrément en blanc, mettaient en évidence un appendice nasal proéminant. J’avais sorti la grosse cafetière et je l’avais raccordé à une prise extérieure quand Madame Lefebvre s’amena avec la boîte à café. Elle me tourna le dos et, le buste incliné, elle remplit le filtre avec un doseur. La liquette fuchsia, remontée sur ses reins, découvrait la plus belle paire de grosses fesses que je n’aie eu l’occasion de voir depuis belle lurette ! Il faut préciser que l’animatrice des ventes portait un pantalon caleçon, blanc, qui lui moulait les cuisses et le postérieur comme une seconde peau. Les sphères étaient parfaitement rondes, imposantes dans leur volume et bien soutenues par de grosses cuisses musclées. C’était beaucoup plus qu’un gros cul, c’était une croupe somptueuse. Le tissu était tellement tendu qu’on distinguait parfaitement les contours de sa petite culotte et les volutes des broderies de la lingerie qui s’incrustaient sur le textile immaculé. Avant d’aller chercher les tasses, Annie ...
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