Les aventures sexuelles débridées de Patrick. Emilie, sa future femme. (3)
Datte: 30/01/2019,
Catégories:
Erotique,
... épousant de plus en plus ma moule. Mais le tissu résistant ne cède pas. Patrick relève mes jambes à la verticale et les posent sur ses épaules. Une fois les mains libres, il caresse mes cuisses puis mes fesses, leur donnant desclaques, comme on flatte un cheval sur la croupe avant de le monter. Une main s’égare dans monentrejambe et se glisse sous le string récalcitrant. Sa tête vient la seconder sur ma chatte et entreprend d’endiguer à grands coups de langue le début d’inondation qui risque de tremper les draps. Le nez dans ma fente, il lape comme un petit chien. Je suis incapable de me retenir sous ses coups de langues, mes mains dans ses cheveux pendant que je grimace de plaisir. J’emprisonne sa tête entre mes cuisses sous la violence de l’orgasme et hurle à pleins poumons : — OUIIII...AAAHHHH...OH mon Dieu, ooouuuiii ! JE JOUIIIIISSSS ! Ah que c’est bon !!! Il me faut un bon moment avant de réaliser que j’ai toujours les jambes qui ne veulent plus libérer l’outil de mes tourments. Je délivre sa tête de la fourche de mes cuisses. Ayant fini de me dévorer la moule, il se redresse et remonte mon string à la hauteur de mes genoux, tout en guidant de sa main sa queue vers mon antre dégoulinante. Sans difficulté aucune, son sexe se retrouve au fond de ma cavité. Après quelques secondes, il se retire en entier et recommence. Ses lents et puissants coups de reins m’amènent toujours plus haut vers le Nirvana, plus rien d’autre ne compte autour de moi. Un coup de butoir ...
... particulièrement violent me fait redescendre sur terre. Je suis toute trempée, des perles de sueur ruissèlent du haut de mes seins et se rejoignent dans le creux de la vallée qui les sépare. Ses mains empoignent avec force ma poitrine ferme, pétrissant mes seins douloureusement. Il me possède, je suis sa chose. Tel un métronome, ses coups de bite dans ma chatte rythment mon existence. Mes yeux suivent le mouvement, je les ouvre quand il se retire après chaque coup au fond de ma matrice et les referme à chaque fois que son gland vient abouter sur le col de mon utérus. De temps en temps, mon regard croise le sien : - OH Patrick, je n’en peux plus, je n’arrête pas de jouir, remplis-moi de ton sperme ! Et je recommence à hurler comme une louve. Mais il n’en a cure et continue inlassablement son travail de sape avant d’enfin me murmurer : — J’y suis presque Emilie, encore un peu de patience, je sais que tu le peux et que tu le veux. Il reprend son pilonnage mais je suis si hystérique que je trace dans son dos des sillons sanglants avec mes ongles quand mon corps convulse sous des spasmes interminables: — Oh, je n’arrête plus de jouiiirrrr ! Aaaahhhh ! Enfin tu me remplis, que c’est boooonnnn ! Il vient enfin de lâcher sa première salve. — MON DIEU OUI, OOOOOOOHHH OUIII JE JOUIIISSS ! Il continue à se vider en moi tout en continuant à me pistonner avant de s’écrouler sur moi et de m’embrasser : — Oh Emilie, il n’y a qu’avec toi que je ressens une telle plénitude après l’amour mais que va ...