1. Histoires d'un mari cocu, larbin, et heureux (10)


    Datte: 30/01/2019, Catégories: Trash,

    Stéphanie est revenue quelques minutes, plus tard, cette fois, elle ne s’est pas arrêtée, elle est entrée dans le salon en mode défilé. Elle portait une robe noire, en cuir, moulante, col rond pas décolleté, sauf que toute la partie sur la poitrine était en voile transparent. On voyait une large partie de ses seins. La robe était courte. On apercevait qu’elle portait des bas, dont la couture arrivait pile en bas de la robe, du coup on les voyait à chacun de ses pas ou presque. Elle ne portait pas de soutien-gorge. Aux pieds elle portait de nouveau une paire de Louboutin. Des sandales à talons aiguilles de 12 cm, semelles et talons couleur fuchsia, et deux brides au niveau des orteils en soie imprimé fleurs, motif répété sur le ruban qui enveloppait sa cheville. Je n’en revenais pas. Cette tenue était sans aucun doute moins vulgaire que juste le bikini précédant, mais elle était terriblement sexy. Et Stéphanie maintenant défilait comme une vraie pro, et n’hésitait pas à nous jeter à l’un comme à l’autre des regards provocants. Je jetais un coup d’œil discret à Karim, qui avait une de ses mains posée carrément sur son paquet, que je devinais gonflé. Je réalisais alors que je bandais dur et qu’il fallait absolument que je me contrôle pour ne pas me jouir dessus. Elle roulait encore du cul, elle quitta la pièce sans rien dire, et je me suis joui dessus ; je n’ai rien pu faire pour m’en empêcher. Et la tension et les mimiques sur mon visage, puis le relâchement de mon corps ...
    ... m’ont trahi, Karim a grillé. — Putain, tu viens de te faire dessus là ? Je n’ai rien dit j’étais honteux. J’ai voulu me lever pour aller me changer ou au moins nettoyer, mais il m’a retenu de sa main ferme. — T’as vraiment pas changé lopette. Son téléphone a sonné. Un sms. Il l’a lu, me maintenant de sa main assis dans le canapé. — Putain, t’as de la chance que Julie arrive, parce que sinon, avec toi qui te jouit dessus, au prochain défilé, je me levais pour l’emballer cette petite salope ». De nouveau je n’ai rien su ou pu dire. Je n’ai pas relevé le « salope », et je n’ai même pas réalisé qu’il venait de dire que Julie arrivait. Je paniquais un peu. Karim, depuis leur retour de shopping, avait clairement pris le contrôle de la situation. J’étais réduit au rôle de témoin. — Allez fais pas la gueule, je déconne ; et puis Julie est là donc t’es tranquille. Ah ah. Julie a effectivement sonné à la porte. Stéphanie n’a pas eu le temps de se changer et est donc réapparue dans le salon dans sa petite robe. Karim est allé ouvrir, je me suis rué aux toilettes pour au moins me nettoyer. Quand je suis revenu au salon, j’ai découvert Stéphanie toujours dans sa robe ultra sexy, qui servait à boire à Julie, du champagne qu’ils avaient acheté dans l’après-midi apparemment, les trois plaisantais déjà ensemble. Karim tenait Julie par la taille, telle sa femelle. Je suis entré. — Ah te voilà mon chéri, tu étais passé où ? — Hein ? euh, non rien, suis là oui. — Voici Julie, Karim lui a proposé de ...
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