1. 7 péchés : avarice (2/7)


    Datte: 30/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore,

    ... en vous. Il vous agrippe alors les cheveux et se met à vous ramoner sans retenue. Impuissante, vous le laissez aller et venir rapidement dans votre cul serré. Haletant de plus en plus fort, il prend visiblement un très grand plaisir à vous malmener de la sorte. Accentuant encore ses coups de boutoirs il vous force à mentir en admettant que vous aimez ce qu’il vous fait. Abandonnant toute fierté, vous accédez à toutes ses demandes en espérant qu’il finisse bientôt. Malheureusement, il se montre très endurant et votre calvaire semble ne jamais devoir finir. Il tape à grands coups de bite au fond de votre cul, vous pilonnant sans relâche, tant et si bien que vous finissez par vous sentir faible et vous glissez jusqu’à terre. Sans s’interrompre, François continue à vous enculer à quatre pattes, insensible à vos gémissements. Enfin, il jouit et se retire en produisant un bruit de succion humiliant. Il se rhabille en vous laissant là où vous êtes sur le sol, vous jette quelques billets et quitte les lieux en vous lançant « J’ai déjà hâte qu’on se revoit ! »En larmes, vous appelez Hélène pour lui raconter ce qui s’est passé, mais elle écoute à peine et vous ordonne de remettre le studio en ordre et d’attendre votre prochain client qui ne devrait plus tarder.Vous obéissez docilement, imaginant la menace qui pèse sur vous si Hélène révèle ce qu’elle sait à votre mari → 32Vous en avez assez d’obéir aveuglément et vous vous rebellez, quelles que puissent être les conséquences → ...
    ... 423.Guillaume est extrêmement choqué par vos révélations. A tel point que, pour la première fois depuis que vous le connaissez, il perd son sang froid et vous gifle. Il part calmer ses nerfs en vous ordonnant de ne plus être présente quand il reviendra. Vous rassemblez à la hâte quelques affaires et vous quittez le domicile conjugal en comprenant que vous l’avez perdu à jamais et en devinant que l’avenir sans lui s’annonce bien triste pour vous. FIN.4.Vous reprenez conscience, mais votre tête est tellement douloureuse que vous ne parvenez pas encore à ouvrir les yeux ni même à vous mettre debout. Où que vous soyez il y règne une chaleur étouffante et vous entendez le bruit assourdi d’un moteur ou d’une machinerie. Vous sentez le sol métallique sous votre corps entièrement nu tanguer légèrement et vous comprenez que vous êtes à bord d’un navire. Avec difficulté vous tentez de soulever vos paupières et, dans la pénombre vous distinguez les barreaux rouillés d’une grande cage de métal qui vous sépare d’une cale remplie de caisses et d’outils. Vous avez la gorge sèche comme si vous n’aviez pas bu depuis des jours (ce qui est peut-être d’ailleurs bien le cas) et vous tentez d’appeler à l’aide d’une voix rauque. Un homme aux bras couverts de tatouages, dissimulé jusque-là dans l’ombre s’avance vers vous en s’adressant à vous dans une langue étrangère, sans doute espagnole. Il vous fait signe de reculer avant d’ouvrir la porte de la cage et d’y entrer. Il referme soigneusement derrière lui ...
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