1. Les deux épouses du (futur) roi (1)


    Datte: 31/01/2019, Catégories: Trash,

    ... proclama: — Bon et bien, allez vous reposez un peu mes chères vous en aurez besoin pour le bal de ce soir. Je me baissa dans une profonde révérence et sans un regard en arrière j’allais vers ma chambre. ********************** Sur le panneau de la porte, il est écrit: Propriété de Christelle et Ambroise Je fus un peu soulagé. Être seule dans la nuit dans un endroit inconnu ne me réjouissait pas. Et je pourrai passer mon angoisse sur la petite. Je rentrai dans la chambre. Vraiment sans aucun sarcasme, c’est du grand luxe. Il y a de la soie partout, une coiffeuse, une grande garde robe (avec nos tailles, ma chère Saboy!) et évidemment, un grand lit à baldaquin. Il y a aussi un matelas au sol. Je dis à Christelle: — Installe tes affaires et reposes toi. Je t’habillerai et te coifferai ensuite. Elle le fit sans protester et alla dans le matelas sans rechigner. Je me coucha à mon tour et eu un sommeil léger mais réparateur. ******************* Je me réveilla et vis Christelle. Je devais la réveiller... j’eu la meilleure idée! J’allais chercher un bol d’eau froide et lui versa sur tout le corps. Elle se réveilla en sursaut et même si je rigolais de l’intérieur, je pris l’air le plus dur que j’avais pour lui dire: — Encore couchée? Ça mériterait une bonne correction mais puisque je suis gentille je ne vous punirais point. Dites moi merci. -Mer... Merci Ambroise. — C’est bien bon maintenant viens. Elle me suivie vers sa garde-robe. Saboy avait très bien choisi, elle savait que ...
    ... j’allais l’habiller. Il y avait une magnifique robe pourpre avec au niveau du corset des fils d’or. Je la pris et lui fis essayer. Elle me dit: — C’est parfait merci — De rien — C’est bien maintenant je vais te coiffer Je pris le peigne et lui fis un chignon. Ensuite je lui fis mettre une magnifique coiffe argentée. C’était parfait. Je lui fis un petit sourire et lui dit: — Tu es très jolie comme ça — Merci Maîtresse Ambroise — De rien ma chère. Mon cœur battait. Un prince, un roi pouvait m’épouser. Je n’avais pas le droit à l’erreur... Pas après les 3 dernières. J’avais des sautes d’humeur. Mon cœur battait vite. Mais que notre cœur batte veut dire que nous sommes toujours en vie, non? Je m’habillais pareillement que ma soeur. Les hommes aimaient toujours imaginer des scénarios coquins avec deux sœurs contraires et similaires (je sais que ça ne se dit pas, mais c’est le terme exact). Et puis, nous sommes allées au bal. Il n’y avait pas le prince que je rêvais. ************* Quand je suis arrivée, je l’ai tout de suite remarquer. Le prince. Une crinière blonde, bien habillé, un corps sculpté... Mais Christelle me ramena à la raison. Il était sur son trône. Cet homme n’était autre que son cousin. Je ne savais plus où me donner la tête. L’homme que je vis sur le trône n’était pas un prince. Il avait les cheveux gras et sales, il était mal habillé et bedonnant. Des mèches d’un noir luisant lui arrivait aux épaules, des yeux d’un Brun banal et sans expression. Vraiment répugnant. Et ...