Ellen m'avoua avoir eu sa première relation saphique
Datte: 31/01/2019,
Catégories:
fh,
ff,
cocus,
inconnu,
fépilée,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
massage,
rasage,
Oral
fgode,
fist,
initff,
fbi,
Dans mon premier récit, je vous avais raconté comment mon ex, Ellen, m’avait permis de la voir jouir sous les assauts d’un autre mâle, alors que nous étions séparés depuis plusieurs mois, m’offrant la réalisation d’un phantasme que je n’avais jamais osé lui avouer durant presque 15 ans de vie commune. Je crois qu’Ellen, dès le début de notre relation, ne m’a jamais rien caché de ce qui avait été sa vie sexuelle. De ses premiers émois, ses premières masturbations, ses premiers jeux sexuels avec ses cousins et les gamins du village jusqu’aux amants sérieux et même occasionnels qui avaient su la faire craquer. Elle me semblait furieusement hétéro jusqu’à cet épisode que je me décide à vous raconter maintenant. Au début de notre relation, Ellen comme, je crois, toutes les vraies blondes que j’ai eu la chance de connaître intimement, avait une toison clairsemée de poils blonds très fins ne cachant pas grand-chose de son anatomie. Ses lèvres exposées au regard du mâle étaient fines, aussi discrètes que sa toison. Il fallait vraiment qu’elle soit excitée pour que ces dernières prennent du volume, s’écartent légèrement en virant au rouge sombre pour laisser s’échapper un filet de mouille qui ne mettait pas beaucoup de temps à humidifier son petit anneau brun plissé. Elle était, et je pense qu’elle l’est toujours, très réceptive aux caresses buccales mais ses poils pubiens m’empêchaient d’apprécier pleinement la douceur de sa peau sur et autour de ses lèvres intimes. Je le lui ai ...
... donc fait comprendre au cours de nos séances de léchage torride. Elle qui adorait sentir ma langue appliquée sur toute sa largeur, sur ses lèvres, leur pourtour, son clitoris mais également sur l’intérieur si sensible de ses cuisses, ne mit pas longtemps à faire disparaître petit à petit, au fil des rendez-vous chez l’esthéticienne, ce rempart de poils pubiens, conservant malgré tout, ce qu’elle appelait « le maillot ». En règle générale, elle n’appréciait pas beaucoup ces séances qu’elle jugeait avoir été inventées par des hommes pour le plaisir des hommes et je savais que c’était pour moi qu’elle s’y soumettait. Pourtant, cet après-midi là, elle en revint le sourire aux lèvres et d’une humeur plutôt grivoise, frôlant à chaque fois qu’elle le pouvait mes fesses ou mon entrejambe, m’amenant rapidement à un état d’excitation incompatible avec des activités autres que sexuelles. Je suis à mon tour rentré dans son jeu, la serrant de près pour lui passer la main aux fesses, caresser sa chute de reins qu’elle avait très sensible, pour finalement la voir se défiler vers la douche, m’abandonnant avec mes idées lubriques et un short devenu trop étroit. Pire, elle me stoppa net dans mon élan lorsque je voulus la rejoindre, me signifiant qu’aujourd’hui elle menait le jeu. Ses premières instructions m’expédièrent tout droit dans notre chambre pour l’y attendre nu comme l’enfant qui vient de naître et qui plus est, avec les yeux bandés par le foulard qu’elle avait posé à mon intention sur ...