1. Putain et aristo


    Datte: 14/08/2017, Catégories: Anal Mature, Partouze / Groupe

    ... plus avancé que nous dans la débauche. C'en était à un point troublant voire écœurant. Il nous afficha fièrement sa bisexualité. Là-dessus nous dûmes concéder notre préjugé et réticence. Il nous moqua et n'en voulut pas moins participer à certains de nos jeux. Il connaissait une infinité de salopes. Il daigna nous faire profiter de ses réseaux. Avec lui nous n'étions jamais en défaut de coucheries.Nous décidâmes de flatter notre pourvoyeur. Nous apprenions plus vite et plus fort avec lui. Nous savions suivre une âme damnée qui nous mènerait on ne sait où. Il n'y eût pas moins au bout d'un an cet épisode fatal qui arrêta notre relation et pour beaucoup altéra notre enthousiasme pour le libertinage. Je frémis encore à évoquer cela. Il n'était pas rare qu'Arnaud nous emmena dans des lieux sinistres et remarquables. Souvent le fait de bourgeois et de richards. Il y avait là-dedans le témoignage mille fois allégué de la décadence des classess supérieures.Nous devions rejoindre chez elle une femme dont le mari s'était absenté un temps. Celui-ci aux dires d'Arnaud était diplomate et pédéraste. La pauvre femme depuis longtemps avait toute liberté de se débaucher avec quiconque. Arnaud et d'autres en avaient profité. Il nous avait assuré qu'outre d'être vicieuse, elle affichait un personnage haut en couleur qui en quelque sorte valait le déplacement. Nous ne vîmes nul originalité et malice dans cela. Il nous avait souvent servi le même couplet pour nous vendre ses sorties. La masure ...
    ... dans le genre gothique ne m'en surprit pas moins.On se fut cru dans un roman anglais noir . Le luxe nous sauta à la figure. Philippe féru de brocante me confirma que nous étions dans une sorte de caverne d'Ali Baba. Il fit assaut de culture et d'érudition avec la dame. Celle-ci quinqua n'en trahissait pas moins de grands restes de beauté. Brune avec ses grands yeux clairs elle avait du bouleverser bien des cœurs. En même temps l'âge et les outrages de la vie l'avaient corrompu. Elle avait le regard en dessous de la femelle qui convoitent des jouvenceaux. Elle avait le maquillage outré, le bas résille et le cul lourd.Philippe la colla peu à peu et tout en flegme lui caressa le cul ce qui semblait la satisfaire. Arnaud et moi les laissâmes tandis qu'ils s'embrassaient goulûment dans l’une des nombreuses salles. Armand me montra le jardin et une basse cour où je découvris d'étranges volailles. Quand nous remontâmes dans le salon, Philippe gisait dans un fauteuil tandis qu'elle penchée sur lui le suçait. Arnaud me demanda si je voulais boire quelque chose d'âpre et de sec. Ce fut un bon Whisky. Nous pouvions regarder la télé en même temps que les deux autres. La garce suçait avec grande frénésie.J'étais je ne sais pourquoi dégoûté de ce spectacle. Arnaud le perçut et m'en moqua. Un peu par provocation il se leva et s'enquit de soulever la jupe de l'hôtesse pour que je pus voir son cul illustré impunément par un string. Ce cul était massif et tout strié de rouge comme si on l'eût ...