1. Véro à la plage


    Datte: 31/01/2019, Catégories: fhh, hplusag, plage,

    ... ce doigt se transforme en un minuscule pénis qui entre et sort délicatement, et mon corps ne s’y trompe pas et assimile cette intrusion à un coït, car je sens une lubrification en faciliter l’accès et mon bassin en accompagne le mouvement. Il ne m’est plus possible de simuler un assoupissement ; ma tête se redresse pour mieux haleter et mes bras prennent appui sur la serviette pour pousser mes fesses vers ce doigt qui occupe toute ma conscience. Les sensations sont de plus en plus fortes, je me mets à crier mon plaisir et je sens tout à coup l’orgasme qui déferle sur moi comme un flash éblouissant. Au paroxysme du bonheur, je m’effondre en essayant de retrouver mon souffle tandis que ce merveilleux doigt me quitte, laissant mon anus tout dilaté, en proie à des sensations inconnues. Mon esprit est lui aussi en pagaille, il ne sait plus où il en est, partagé qu’il est entre la puissance et la nouveauté de ce plaisir mais aussi la force de tous ces interdits qui viennent d’être transgressés. Mais la tendresse de mon Jean-Jean m’apporte la sérénité dont j’ai grand besoin, il murmure des mots d’amour qui me ramènent à une réalité rassurante. Il m’aime et ce que je viens de vivre ne fait pas de moi une femme dévoyée, indigne de lui. Je prends conscience qu’on peut aimer de cette manière-là et être une épouse respectable. Je peux alors me tourner vers lui et l’étreindre avec tout l’amour et la gratitude que j’éprouve pour lui. Il me regarde avec ses grands yeux clairs et me dit : — ...
    ... Et si on allait se baigner ? Il faut dire que tous les deux, nous aimons beaucoup l’eau qui nous donne toujours le sentiment de nous régénérer. Nous ne saurions nous en éloigner et même au cœur de l’hiver, nous marchons au bord des vagues, quitte à avoir le pantalon mouillé. Alors, quand elle a des airs de lagon polynésien comme ce jour, il est impossible de résister à l’attrait d’une bonne trempette ! Mais… encore faut-il réussir à se lever ! Je suis toujours sous le coup des fortes émotions encore toutes récentes et mes jambes sont flageolantes. Jean-Jean m’aide à me relever avec un beau sourire dont est absent toute trace de moquerie, lui qui sait pourtant être si taquin ! Je constate alors à ce moment que lui aussi est nu et qu’il a l’intention d’aller à l’eau ainsi ! Mais dans un sursaut de pudeur, je ramasse mon maillot et l’enfile tant bien que mal, surtout le bas ! Par contre, lui n’esquisse aucun mouvement vers le sien et j’accepte l’idée qu’il puisse descendre vers la mer dévêtu. Pourtant, il y a encore une heure, je lui aurais fait un beau scandale même sur une plage aussi déserte que celle-ci car, et je m’entends le dire ! « Il peut toujours y avoir quelqu’un ! » et l’avenir allait nous le prouver… L’image romantique du couple courant à l’eau et s’y jetant dans de grandes éclaboussures n’est pas celle que nous offrons ! Je descends la dune lentement et n’accélère pas le pas en arrivant sur la plage pourtant plane. En cause mes jambes qui ne retrouvent leur tonus ...
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