1. Comment ai-je pu devenir aussi salope? (1)


    Datte: 01/02/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    Je suis devenue ce qu’on appelle vulgairement une « pute à blacks » mais cela ne s’est pas fait en un seul jour... Voici mon histoire... Mon père a refait sa vie avec une de ses collègues de travail, j’étais heureuse pour lui... Depuis le décès de ma mère dans un accident d’avion plusieurs années auparavant, il s’était entièrement consacré à mon éducation et à son boulot. Noelia, sa nouvelle compagne avait son âge, autour de la quarantaine, et un fils dont j’ai fait la connaissance lors de la première rencontre à la maison. Originaire des Antilles et même si elle était très blanche, Noelia était très typée et son fils Casimir était un beau jeune homme couleur « café au lait » du plus bel effet... J’ai été emballée dès le premier jour par Noelia et Casimir que j’ai adoptés aussitôt... Elle ne serait jamais ma mère mais elle a su me mettre à l’aise en me demandant de l’appeler par son prénom. Quant à Casimir, il était de la même année que moi, mais né en janvier alors que j’étais née entre Noël et le Nouvel An ! Nous nous sommes entendus tout de suite... Il avait un tempérament rieur, il aimait la même musique que moi et il m’a fait connaître certains groupes antillais peu joués en Métropole. Il était sportif et dès qu’il s’est installé à la maison avec sa mère, nous avons pris l’habitude d’aller courir ensemble dans les allées du bois de Vincennes, proche de la maison. Je n’avais pas la même foulée que lui mais cela me tirait vers le haut, mes performances au sein d’équipe ...
    ... de cross-country du lycée s’en ressentaient ! Mais ce qu’il ne savait pas (et c’était un secret bien gardé au sein de notre équipe de cross scolaire) c’est que j’étais déjà une fieffée coquine... Il y avait bien longtemps que j’avais perdu mon pucelage avec un des membres de l’équipe, tout juste un peu plus âgé que moi et qu’ensuite j’étais passée de garçons en filles (il ne faut pas mourir idiote...). Il n’y avait que notre coach que je n’avais pas épinglé à mon tableau de chasse ! J’étais tranquille : mon père m’avait fait délivrer la pilule quand j’avais commencé à prendre des formes, certes peu prononcées et ainsi, je pouvais baiser comme je le voulais. Lorsque nous rentrions de notre footing le mercredi soir et le samedi matin, Casimir attendait patiemment que j’aie terminé ma douche alors que je n’espérais qu’une chose : qu’il ose venir me rejoindre sous le jet et me régaler de son corps de jeune éphèbe musclé à souhait. J’imaginais son sexe sur lequel je fantasmais : long et noueux comme ceux que je voyais dans les magazines gays... J’avais envie de le caresser et de le sentir progresser dans ma chatte... Hélas, trois fois hélas, il n’y avait pas moyen de faire tomber Casimir dans mes filets... à croire qu’il était homo et que je ne lui plaisais pas... Les mois puis les années ont passé... Je baisais de plus en plus souvent avec des copains de la Fac ou même parfois des adultes que je racolais avec ma petite gueule d’ange et mes formes menues, me vieillissant pour ...
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