1. La jupe d'écolière 8 Final


    Datte: 01/02/2019, Catégories: Humour, Transexuels Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... d’un gang de jeunes black qui nous observait d’un parc en se pognant le paquet en nous criant des obscénités. Moi j’en avais l’habitude depuis ma transformation en fille, mais, elle, elle venait de débarqué de Chicoutimi ce matin, alors, elle était nerveuse ma petite sœur, pas habituer à la grande ville. Les blacks avaient le mérite de lui faire oublier un peut que je venais de lui apprendre qu’elle était la vedette de mes BD de cul qui se vendait pas mal, même beaucoup. J’avais stupidement pris ma sœur comme modèle et surnommer mon personnage, Mimi la bombe, trop bandante ma petite sœur par adoption, j’avais pas pu résister. Elle l’avait un peut mal prit, j’avais eu droit a quelques bons coups de sacoche derrière la tête, bien mériter faut dire. J’étais justement en train de me frotter le derrière de ma tête de blonde quand elle dit :-Seigneur Christine, on te voit un mamelon!Je regarder ma minuscule camisole que je portais souvent en spectacle avec une face de zombie grimaçant dessus et effectivement, mes mamelons gauches se montraient le bout du nez par une déchirure, comme prévu. Je souris, car j’avais fait exprès de la déchirer à grands coups d’exacto, ça rendait mes fans complètement fou de me voir un téton ou parfois, quand j’étais un peut saoule, carrément les boules quand j’enlevais la camisole vers la fin d’un spectacle. Chanté seins nus c’était... wow! J’en étais si fier de mes nouveaux petits seins. C’est la première fois que j’avais fait ça que les gars de mon ...
    ... groupe avaient un peu perdu la tête après le spectacle et c’était cette fois-là qu’ils avaient voulu me prendre en gangbang. C’est aussi là qu’ils avaient appris que j’étais une Shemale. Oups! Déçut le vrai gars pas amateur de bites, par contre ils aimaient bien que je les suce. Ainsi va la vie parfois.-Pis, on s’en fout. Répondis-je amuser.-On va se faire violé.-Mais non, on est déjà arrivé.-Son belle tes bottes punk, j’en veux.Les filles sont comme ça, elles changent de sujet en un clin d’œil.-Demain, journée boutique branchée Mimi la bombe, surplus militaire, genre et marché aux puces et armée du salut, après ma séance de photos.-Recommence pas avec ton histoire de Mimi la bombe, genre, je commence juste a le digérer. Un autre petit coup de sacoche la blonde?-Non, ça va. T’as quoi là-dedans une brique, genre?-WAIS! Pour décourager les violeurs, genre.-Bon, pourquoi tu stresses?Cramper de rire les bombes puis je lui montrer du menton une vieille maison à logement carré en brique peinte en noir, taguer et couverte de graffitis ou d’illustration bizarroïde sur trois étages qui avait tout du bunker urbain de motard sur l’acide. Pas le moindre escalier extérieur et pas le moindre balcon. Isoler au bout d’une rue étroite, tout près du chemin de fer, toutes les fenêtres en était obstruer par des panneau de fer et même la porte en bas était en métal recouvert de toute sorte de tags et de vielles affiches déchirer avec un judas. Juste au-dessus une enseigne au néon mauve luisait dans ...
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