L'aveu
Datte: 01/02/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
couple,
extracon,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
humour,
... moi. Alors je n’avais pas vraiment l’impression de mal agir.— Et tu t’es mise entièrement nue ?— Oui, entièrement, je te l’ai dit, nue de la tête aux pieds, j’étais vraiment pompette, je ne savais plus trop ce que je faisais. J’étais à poil et je dansais en ondulant des fesses.— Et eux, que faisaient-ils ?— Oh, devine, ils en profitaient, ils me mataient. Ensuite, ils se sont levés et ils m’ont touchée un peu partout.— Et toi tu te laissais faire ?— Ce n’était pas désagréable et puis j’étais vraiment très euphorique, en plein état d’ébriété.— Ils ne t’ont pas baisée quand même ?— Par chance, ils n’avaient pas de capote, ce qui m’a permis de refuser. Mais ils ont quand même sorti leurs queues et ils m’ont demandé de les soulager. Alors, je leur ai fait une petite gâterie.— Tu as fais ça, salope ? Tu les as sucés ?— Je me suis agenouillée devant eux et les ai pompés chacun leur tour jusqu’à ce qu’ils éjaculent sur mon visage.— Sale pute ! Tu n’es vraiment qu’une grosse catin, tu me dégoûtes. À ton air, je suis sûr que tu as aimé ça, en plus. Tu y as pris du plaisir ! Ca t’a plu de sucer des bites !— À la fin, j’étais toute couverte de sperme, j’en avais partout sur la figure et dans les cheveux.— Oh, arrête, tu m’écœures.— Mais ce n’est pas tout à fait fini… car, depuis ce jour là, ils me font un peu de chantage, ils menacent de t’en parler si je ne les suce pas à nouveau.— Quelle merde, je vais les crever ces deux ordures !— Alors, pour qu’ils se taisent, ils ont droit à leur ...
... petite turlutte quotidienne, tous les soirs, avant de partir du boulot, dans la réserve.— Oh, ce n’est pas vrai, tu es une moins que rien, tu me dégoûtes, tu n’es qu’une grosse pouffiasse suceuse de bites.— Le problème c’est que maintenant ils en voudraient encore plus… C’est pour cela que je me suis décidée à t’en parler aujourd’hui.— Oh, parce qu’une petite turlutte, vite fait, pour toi ce n’est rien du tout. Juste un petit service que tu leur rendais comme ça, avec un grand sourire, je suppose. Et ben, voyons, c’est naturel de sucer ses collègues s’ils en ont envie… Tu ne pouvais pas m’en parler avant ? Je te jure que je vais leur casser la tête à tes deux bâtards. Je me relève et déchire la liquette de ma pute de femme d’un coup sec : — À poil salope, je veux te voir à poil comme ils t’ont vue à poil, ces deux porcs. Elle se désape lentement. — Allez, plus vite, je suis sûr que tu y mettais plus d’entrain, avec ces deux tarés !— …— Et après, ils te touchaient comment ? Ils te les pressaient comme ça tes gros nichons ? Ou ils te les étiraient ? Ca t’excitait de te faire tripoter comme ça, ma grosse vicieuse ? Avoue ! Avoue que tu as aimé ça qu’ils te pelotent les miches !— Ils étaient beaucoup plus vicieux que ça… ils m’avaient fait allonger par terre et ils me fouillaient tantôt le con, tantôt le cul, avec leurs doigts épais.— Tais-toi, tu n’es qu’une grosse catin, je suis sûr que t’y prenais un pied d’enfer. Ils te branlaient comment, comme ça ou alors encore plus fort. ...