1. Ma vie de candauliste


    Datte: 14/08/2017, Catégories: fh, extracon, cocus, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... d’aller un peu plus loin. Qu’elle se laisse caresser, embrasser, qu’elle-même le touche. Juste pour voir si ça lui fait quelque chose. Curieusement elle ne me coupa pas avec une ritournelle du genreJe suis une femme fidèle, pour qui me prends-tu ? mais me répondit avec un sourire. — Je n’oserais jamais. Je lui demandai donc si elle pourrait en avoir envie ou pas. Elle me répondit que ce n’est de toute façon pas désagréable de plaire et de se faire caresser, à condition qu’il n’y ait rien de plus, et surtout pas de vulgarité. Nous avons terminé un dimanche paisible sans reparler de sa soirée. Mais je gambergeais… Elle sortit à nouveau le samedi suivant. Avec les mêmes copines. Elles ont fini dans la même boîte. Je l’ai attendue jusqu’à midi. Le jeune type était revenu, espérant la trouver. Il était venu directement lui claquer une bise et lui offrir un verre. Ils avaient dansé, longtemps. Il avait évité de la toucher une bonne partie de la soirée, restant courtois, mais lui assénant quelques gentillesses : — Tu es très jolie, j’ai beaucoup pensé à toi. J’ai même rêvé de toi… Elle avait fini par l’allumer doucement en lui disant qu’elle aussi avait pensé à lui mais qu’il était bien trop jeune, que ce n’était pas possible, mais qu’elle appréciait sa compagnie, là, maintenant. Il s’enhardit alors un peu et la serra d’avantage durant les slows suivants. Elle se laissa faire, se serrant contre lui et passant ses mains autours de son bassin. Il avait fini par l’embrasser dans le ...
    ... cou, et voyant qu’elle ne le repoussait pas, avait passé sa langue. Quand il avait essayé de l’embrasser, elle avait tourné la tête, lui disant qu’elle en avait très envie mais que ses copines pourraient la voir. Il avait insisté un peu, puis avait renoncé. Mais lorsque durant les slows les lumières s’abaissaient, il en profitait pour lui lécher le cou, passer une main entre leurs corps pour lui caresser les seins, ou les fesses. Elle me raconta tout ça tranquillement, m’avouant qu’elle mouillait hier soir, et qu’elle mouillait à nouveau en m’en parlant. Pas à cause de ce mec, non, juste la situation. Quelque chose de très érotique, de très sensuel. En fin de soirée, il lui a griffonné son numéro de téléphone sur un papier ; elle l’a accepté, sans rien lui promettre. — Voilà me dit-elle. J’espère que ça t’a plu. Moi en tout cas, je me suis bien amusée. Je recommencerai… Sans trop réfléchir, je lui demandai alors si à un moment ou à un autre elle s’était imaginée d’aller plus loin, d’être seule avec lui, de le laisser l’embrasser, de le laisser lui toucher le sexe, et pourquoi pas d’avantage. Elle me répondit encore de façon assez claire qu’elle n’oserait jamais. Comme elle n’aurait jamais osé le laisser aller plus loin alors que c’est ce qu’elle venait de faire. Je lui dis alors qu’elle pourrait l’appeler, le rencontrer, flirter, l’allumer, et décider quand elle devrait arrêter, juste pour voir… Marie me répondit : — Pourquoi pas, mais moi je suis hyper jalouse. N’imagine pas ...