Séduction délicate de la soeur de ma mère (1)
Datte: 01/02/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... trouve toujours autant ravissante. — Quel gentleman ! Tu me fais rire en m’appelant Tatie…Approche et viens me dire bonsoir. Dit-elle en se levant pour me raccompagner à sa porte. Je pris Véro par la taille et lui fis la bise en la serrant contre moi. Adroitement, je caressai d’une manière furtive sa paire de fesses à travers sa nuisette tout en m’éloignant. Ma tante me jeta un regard explicite, sachant pertinemment qu’elle fut la portée de mon geste. Je regagnai ma chambre penaud, mais conscient d’avoir débuter mon travail de séduction. Le samedi matin, je croisai Véro dans le couloir, moi habillé, elle en pyjama. Qu’est-ce que ma tante pouvait me plaire…et dès la première heure, sans maquillage, naturelle donc sensuelle. Je lui fis la bise tout naturellement en échangeant des banalités. Après mes cours, je passai un peu de temps avec quelques copains et rentrai le soir pour dîner. — Alors Patrick et ta journée ? Demanda ma mère, mon père étant absent pour un match de foot entre potes. — Révisions et encore révisions ! — C’est ta dernière année ? Me demanda Véro. — Oui après j’ai un stage de 6 mois et un rapport à faire. — Et tu as trouvé l’entreprise ? — Pas encore Véro, je cherche dans la région mais j’ai des pistes pour octobre. — Ah tu as encore le temps. Dit-elle en jouant avec son rond de serviette. — Bon il est près de 23h, je vais me coucher et papa, il rentre à quelle heure ? — Ce soir il dort chez son copain Jacques et les connaissant, il est préférable qu’il ne ...
... conduise pas. Répondit ma mère. — Oui d’ailleurs Anne, je vais y aller aussi. Rajouta ma tante. J’embrassai ma mère puis ma tante. Elles montèrent rapidement et j’entendis ma tante souhaiter bonne nuit à ma mère après leur causette habituelle du soir. De mon côté, ayant terminé un brin de toilette, je laissai volontairement ma porte entre ouverte et me mis à lire ou plutôt parcourir un cours de marketing. J’entendis ma tante faire sa toilette à son tour, puis plus aucun bruit. J’en déduisis que mon plan était tombé à l’eau. Au culot, je toquai à sa porte puis je glissai ma tête à travers la porte. — Tu ne dors pas ? Lui demandai-je. — Non rentre. Répondit-elle à voix basse. — Je ne veux pas te déranger mais j’ai aimé notre conversation d’hier. — Tu ne me déranges pas du tout et je n’ai pas sommeil. Murmura-t-elle en se redressant. Bien entendu, je fus à nouveau torse nu, histoire d’attiser l’excitation de ma tante à mon égard. Je crois bien que j’avais vu juste. — Mais tu n’as pas froid comme ça, torse nu ? — Si un peu. Répondis-je sciemment. — Attends, je vais te donner mon gilet. Ainsi ma tante se leva de son lit, elle me fit le plaisir de la voir se déplacer, affriolante avec sa petite tenue et ses jambes divines. Elle prit un de ses gilets et vint s’assoir enfin près de moi, prenant soin de le poser sur mes épaules. — Dis donc, t’es vachement baraqué et bien poilu ! S’exclama-t-elle tout naturellement. — Et ça te plait ? Lui demandai-je. — Ah oui, j’aime les mecs dans ton ...