1. Mon merveilleux plaisir anal


    Datte: 02/02/2019, Catégories: Anal Inceste / Tabou Voyeur / Exhib / Nudisme

    Avez vous remarqué qu’on nous parlait uniquement de sodomie en nous donnant un mode d’emploi.Du genre de celui-ci:« Comment réussir votre sodomie en 10 étapes ».J’ai toujours trouvé cela très curieux en vérité, faut-il vraiment donner les ingrédients nécessaires à une parfaite prise de cul comme on le ferait pour réussir un beau gâteau ou devons nous apprendre à faire confiance à notre partenaire et nous laisser aller aux plaisirs de l’acte ?A part dans le porno, je n’entends jamais personne dire, » je me fais prendre le cul et franchement j’adore ça !!! », et nous savons tous que dans le porno, les actrices simulent et sont surtout des performeuses.Il faut bien reconnaître que lorsqu’on dit qu’on aime se faire enculer on nous colle tout de suite des étiquettes et on devient la grosse salope de service. D’ailleurs si on pousse un peu plus loin la réflexion, le terme « enculé » est même une insulte ultra utilisée pour mépriser et rabaisser une personne qu’on n’aime pas du tout.Entre pratique particulière, dépravation, acte contre nature et envies très fortes pour d’autres, quelle est la place de la sodomie dans notre société ? Est-elle assumée ou juste fantasmée ?Les magazines féminins qui ne sont pas tout à fait à l’aise avec le sujet mais qui ne veulent pas être à la traîne, s’en emparent tout de même et très souvent font plus peur qu’envie à toutes leurs lectrices.Il est vrai que lorsqu’on vous rabâche qu’il vous faut 3 litres de lubrifiant pour éviter d’avoir mal, parce ...
    ... que c’est certain, vous allez avoir mal, cela ne vous donne plus vraiment envie de tenter l’aventure.Et pourtant quelle aventure !!!Je vais pour parler de la mienne, de cette découverte d’un plaisir intense et sophistiqué qui ne ressemble à rien de ce que je connaissais .Plus jeune j’avais une sexualité plus classique, j’avais essayé plusieurs fois la sodomie mais je ne peux pas dire que j’y avais trouvé un eldorado ni un partenaire enclin à cette pratique. Je me contentais donc de ce que je savais bien faire et je laissais mon cul se reposer, n’y voyant pas d’intérêt immédiat.Se faire enculer relevait tout de même de la philosophie ou tout du moins d’une réflexion intellectuelle bien poséeEn évoluant et en changeant de partenaires, j’ai commencé à pratiquer la sodomie plus régulièrement sans toutefois y trouver le plaisir que je recherchais.J’avais un partenaire dont c’était le « Must have », mais il me prenait le cul avec peu de délicatesse et j’appréhendais l’acte plus qu’autre chose. J’avais beau me concentrer sur tout un tas de fantasmes qui me faisaient décoller en temps normal, je n’arrivais pas à trouver le summum de la jouissance et j’avais très souvent mal.Manque d’envies, de synchronisation, de véritable liens affectifs, je ne saurais vous dire ce qui faisait que ça ne fonctionnait pas bien du tout entre nous quand nous pratiquions cet acte, mais ce n’était jamais le top et nous avons fini par ne plus nous voir.Je voulais bien évoluer sur le sujet mais j’avais envie ...
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