1. Les relations dangeureuses


    Datte: 02/02/2019, Catégories: A dormir debout,

    -- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS -- Je vais vous raconter une nouvelle histoire qui m'est arrivé lors de ma vingt quatrième année. J'étais alors étudiant à Nantes et j'avais un job de serveur pour l'année. Ma copine Iris m'ayant quitté l'année d'avant, je venais de passer plus de six mois à me contenter de plans culs ou d'aventures temporaires. Je décidais, pour l'été, de trouver quelqu'un qui m'accepterait comme sex slave, étant donné le plaisir que j'avais tiré de mes précédentes expériences. Un ami lointain me parla lors d'une soirée bien arrosée d'une riche chez qui il avait été sex slave pendant deux semaines. Il me décrit ce qu'il y faisait puis pourquoi il avait arrêté. Il devait s'occuper de la maîtresse de maison, mais aussi de ses amies et des fois, des jeunes servantes, ce qui était plus agréable que les vieilles, me fit-il en rigolant. Mais le rythme était trop dur à tenir pour lui ; à plein temps, il passait son temps nu et son gros sexe peu endurant ne le suivait plus sur la fin. Malgré cela, il m'avait dit que ces deux semaines lui avaient rapporté plus de mille euros, pourboires compris. Un salaire honnête pour un travail qui ne l'était pas. Mais si les nombreuses clientes étaient satisfaites alors des énormes pourboires pouvaient pleuvoir de ces dames. Connaissant ma réputation sexuelle, il me conseilla d'y aller et me donna l'adresse de la dame. Je m'y rendis le lendemain et l'adresse donnée me fit arrivé devant un énorme manoir situé à ...
    ... 30 min de vélo de mon appartement. Je laissa mon vélo contre le mur en pierre qui délimitait l'enceinte de la propriété. Je sonnais au portail et une voix de jeune fille me répondit -Oui c'est pourquoi ? -Ce serait pour voir Mme Merteuil, dis-je en lisant le nom sur la boîte aux lettres, désarçonné par la jeunesse de la voix de la fille. -Je vous ouvre, répondit-elle Un petit portail s'ouvrit à côté du grand. Je le pris donc, me disant que je n'avais rien à perdre. Le portillon donnait sur une allée de trente ou quarante mètres que je suivis avant d'arriver au perron du manoir. Je grimpa les marches et je m'apprêtais à frapper quand la porte s'ouvrit. Derrière se tenait une jeune fille d'environ quinze ou seize ans qui me dit de patienter et elle partit chercher sa mère, Mme Merteuil. Le hall d'entrée était immense, avec ses deux escaliers qui partaient de chaque côtés du hall et deux grandes portes ouvertes en face, qui donnait sur un salon. C'est de là que revint la jeune fille, accompagné par la dame. Celle-ci devait avoir tout juste la quarantaine, avec ses cheveux tirés en un chignon sévère et son air très sérieux, elle me mit un peu à l'aise. Malgré son air sévère, elle semblait très belle pour son âge, avec un corps en parfait état. -Bonjour, dit-elle. -Bonjour, répondis-je. -Puis-je savoir la raison de votre venue dans ma demeure ? -Un ami m'a conseillé de venir vous voir pour un job, un certain Jean (mon ami). J'hésitais en effet à dire la vraie raison de ma venue, la ...
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