1. Meriem, alias, Marie


    Datte: 02/02/2019, Catégories: Anal Mature, Première fois

    ... ouvertes, les jambes se balançant dans le vide en dehors du lit et la chatte totalement offerte. Je me mis à genoux entre ses jambes et entamai un cunnilingus forcené. Je léchai, suçai, tétai et mordillai le clitoris qui avait gardé sa fermeté d’il y a trente ans.Le désir de ma belle se réveillait doucement et allait crescendo. Elle gigotait, gémissait et criait de ne pas m’arrêter, tout en appuyant sur ma tête, comme pour la faire pénétrer totalement dans sa chatte. Au bout d’un moment, ses gémissements s’accélérèrent et devinrent de plus en plus sonores. Ses mains se crispèrent encore plus sur ma tête et ses hanches se soulevèrent le plus haut qu’elles purent, puis elle lâcha un immense râle de plaisir et déchargea avec force dans ma bouche. Elle déchargea des quantités incroyables de cyprine qu’elle me criait d’avaler.- Bois, mon amour ! Bois mon jus ! Ne laisse rien se perdre ! Je t’aime tellement !Totalement fourbue, elle relâcha tous ses muscles et s’enfonça dans le lit. Le temps de reprendre son souffle, elle prit ma main et me força à venir m’allonger près d’elle et m’embrassa tendrement sur la bouche. C’est à cet instant que je me rendis compte que je ne l’avais pas encore embrassé ; embrassé comme autrefois, de ce type de baiser torrides et mouillés capables à eux seuls de donner un maximum de plaisir. Je me dis en moi-même que la prochaine fois, je l’embrasserai ainsi et je la baiserai par son con en la prenant en levrette. Mais pour l’instant, j’étais trop ...
    ... fatigué pour faire autre chose que dormir dans ses bras. Ce que je fis presque instantanément. Je ne sais combien de temps elle et moi dormîmes.Quand je me réveillai, je m’aperçus qu’elle avait les yeux ouverts et qu’elle me regardait tendrement, comme elle aurait regardé dormir un bébé.- Bonjour mon amour ! Tu as l’air fourbu ! Ta chienne est à la hauteur, n’est-ce pas ! Il est maintenant temps de manger quelque chose avant que tu ne partes. Linda ne tardera pas à arriver ; elle a été rendre visite à une copine et doit venir vers quatorze heures pour rentrer à la maison avec moi.Elle prépara un repas froid, léger et rapide avec ce qu’elle avait dans le réfrigérateur. Nous mangeâmes avec appétit et allâmes ensemble prendre une douche fraîche pour nous redonner du tonus. Nous nous rhabillâmes, moi avec les habits qu’elle m’avait enlevée tantôt, elle, en remettant les sous-vêtements qu’elle portait à mon arrivée et en allant chercher dans l’armoire un tailleur de couleur marron et de coupe classique. Vêtue comme cela, elle retrouvait un air sérieux, que renforçaient des lunettes à montures d’acier. Rien ne pouvait indiquer que cette femme, qui redevenait subitement « le docteur Meriem », venait de passer près de trois heures à faire l’amour comme une folle avec son amant.- Au revoir mon amour. Promets-moi que nous nous reverrons bientôt ! Dis-moi que tu ne pourras plus te passer de ta chienne. Elle, elle restera toujours à ta disposition. J’ai passé une journée inoubliable avec toi. ...