1. Ludmilla, salope énigmatique du lycée (3)


    Datte: 02/02/2019, Catégories: Hétéro

    Après ma contre-performance un mois plus tôt, de l’eau avait coulé sous les ponts. Simon avait enchaîné les conquêtes comme à son habitude, et la rumeur courait dans le groupe qu’il aurait défloré la si innocente Jeanne. Je n’avais pas réussis à me rattraper de mon côté avec Ludmilla, mais m’étais tout de même rapproché d’Alex, la belle métisse populaire aux yeux bleus, qui avait récemment quitté son copain et semblait de plus en plus attirée par moi. Malgré cela, les pulsions sexuelles que je retenais en moi chaque fois que Ludmilla était près de moi s’étaient peu à peu transformées en amour, et voir Simon et Ludmilla toujours plus proche me dévastait. Sans leur en avoir parlé clairement, Jérémy et Simon m’avait percé à jour et ce dernier ne se privait pas de me taquiner quant à ses prouesses et son rapprochement avec Ludmilla. J’enrageais. Simon et Ludmilla, assis côte à côte, flirtant comme à leur habitude et moi, un rang derrière aux côtés de mon ami Jérémy. Telle était l’image qui me revenait sans cesse en ce samedi soir ou ma main droite était mon seul compagnon. Me rendant compte du pathétique de ma situation, je me levais et prenait la décision d’aller immédiatement parler à cœur ouvert à Ludmilla, pour lui dévoiler enfin mes sentiments et peut-être recommencer à zéro (histoire qu’elle oublie ainsi mon manque de retenu lors de mon séjour dans sa bouche). Je courais sous la pluie battante, confiant, m’imaginant déjà le sourire de Ludmilla après lui avoir tout ...
    ... déballé et enfin ses douces lèvres contre les miennes. Arrivant enfin face à la maison, je vis Ludmilla me regardant depuis la fenêtre de sa chambre au premier étage. Je lui fis signe, signe auquel elle ne répondit pas. C’est alors qu’apparu juste derrière elle Simon, collé contre son bassin, qui ne m’avait pas vu. Malgré ma tristesse immense, je restais fixé devant le spectacle offert à toute la rue. Simon pilonnant la fille de mes rêves en levrette. Alternant caresses et fessées sur son cul, que j’entendais depuis le dehors de par leur force, il la culbutait véritablement. Le visage de Ludmilla était à présent écrasé contre la vitre, ses superbes seins également, alors que Simon continuait ses va-et-vient. Le spectacle dura de longues minutes qui me semblèrent durer des heures, bien que je n’arrivais à m’en détacher. Ludmilla me regardait toujours quand je vis son visage se crisper en même temps que Simon s’arrêta : Simon venait de jouir en Ludmilla, provoquant ainsi son orgasme. Simon retira ensuite sa queue de Ludmilla, qui remit sa culotte en place, dos à moi mais me fixant toujours par dessus son épaule, me laissant une fois de plus admirer son inaccessible fessier écrasé contre la vitre, si proche et pourtant si loin... Simon sortit de la maison tandis que je me cachais dans la pénombre quelques mètres plus loin pour ne pas être découvert. Une fois celui-ci disparu au loin, je rentrais au bord des larmes chez moi, tentant d’oublier la scène à laquelle je venais d’assister. ...
«123»