1. Soirée à deux, plus un


    Datte: 02/02/2019, Catégories: fhh, cadeau, fsoumise, Oral couple+h,

    Après un sympathique souper à la maison, Max attire sa charmante compagne dans leur chambre. Tout en l’embrassant délicatement, il déshabille sa belle, ne lui laissant que son string, assorti à son soutien-gorge. Il lui susurre alors à l’oreille qu’il va l’attacher au lit, lui bander les yeux et s’occuper de chaque centimètre de son corps. Il sort tout d’abord un bandeau du tiroir de sa table de nuit et le lui passe autour de la tête pour cacher les jolis yeux de Léa. Il lui passe alors les menottes doublées de velours aux poignets et l’aide à se coucher sur le lit. Il lui fait passer les bras par-dessus la tête et accroche la petite chaîne qui relie les deux menottes à une autre chaîne qui est fixée sur les barreaux du lit. Il se lève alors pour aller démarrer le radio-CD et passer une musique d’ambiance. Puis, sans un bruit, il revient près du lit pour poser ses lèvres sur celles de Léa qui, surprise, ne peut retenir un léger sursaut. Il pose ensuite un baiser sur une cuisse, le ventre, l’aisselle puis le nombril, ce qui a pour effet de faire frissonner la belle. Il l’embrasse alors à pleine bouche, parcourant d’une main ce corps chaud, offert à lui. Il dessine le contour du string avec un doigt et en fait de même avec le soutien-gorge. Les tétons de la prisonnière se sont érigés sous ces caresses et ne demandent qu’à sortir de leur prison de tissu. Max pousse légèrement Léa pour qu’elle fasse un demi-tour sur elle-même et ainsi présenter son côté pile à ses mains ...
    ... baladeuses. Il se place alors sur elle et, après lui avoir dégrafé son soutien-gorge, commence à lui masser le dos, de la naissance des fesses jusqu’à la nuque. La belle profite de ce massage et laisse parfois échapper de petits gémissements d’aise, ce qui confirme au masseur qu’il s’y prend bien. Pendant ce temps, la porte d’entrée s’ouvre et un homme entre. Cet homme, c’est moi. J’ai en effet été invité par Max pour l’aider à s’occuper de sa belle compagne. Je rentre donc sans faire de bruit et enlève mes vêtements. Je garde juste mon boxer et m’approche à pas de loup de la chambre. Je tends l’oreille et entends les doux gémissements de Léa. J’arrive alors à proximité du lit pour voir les mains de Max posées sur les fesses de la belle, imprimant des mouvements circulaires qui tantôt les écartent largement et tantôt les ferment. Me voyant, il m’accueille avec un large sourire et me fait signe de m’approcher pour mieux mater en écartant au maximum ces deux globes de chair. Léa lui lance alors un : — C’est bon ce que tu me fais, mon poussin. Il se penche alors sur elle en frottant son pénis, qui est toujours dans son caleçon, et va lui mordiller le lobe de l’oreille. Il se redresse à côté du lit et doucement prend dans chacune de ses mains les ficelles du string pour libérer notre prisonnière de ce dernier rempart de tissu. Pour faciliter la tâche à son bourreau, la belle prend appui sur ces genoux pour relever un peu sa croupe. À la vision de ces fesses tendues, je dois me retenir de ...
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