1. Lexi 6 - un garçon à mon goût


    Datte: 02/02/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... de sa gorge pour lui donner une bonne claque sur les fesses qui lui pousse ma queue au plus profond de ses possibilités buccales. Il s’en étrangle et vivement, il se retire. Je le sens prêt à se rebeller, à refuser d’aller plus loin. Solidement, je lui empoigne les épaules, le redresse et glisse ma langue dans la bouche. Je le sens hésiter, comme cherchant un moyen de se mettre en retrait. Puis sous l’effet des sensations et du plaisir que lui procure ma langue enlacée à la sienne, je perçois son abandon. Tendrement je lui murmure à l’oreille « je vais te mettre maintenant, tu t’es déjà fait déflorer le cul ou tu t’es amusé avec tes doigts ? » Dans un souffle je comprends « doigts ». « Remets-toi en position pour me recevoir ». Volontairement, j’emploie le mode autoritaire, je sens que le jeune aime cela. Docilement, il se remet à quatre pattes et s’ouvre des deux mains. Ma langue repart à l’exploration de son fondement. Un quasi puceau du cul, c’est toujours une perle à goûter longuement avant de consommer ! Mon travail préparatoire dure un long moment. Volontairement, je me prive de l’ouvrir avec les doigts. Je l’amène à se détendre jusqu’à ce qu’il soit suffisamment prêt pour me recevoir. C’est alors que ma bite se place devant son anneau et pousse sans avertir. Il lâche un cri de surprise et de douleur. Le gland est entré d’un coup, presque sans résistance. Mais maintenant, je sens ses sphincters se contracter. Je reste immobile. Le bout de ma queue distant son orifice ...
    ... annal. Je flatte sa croupe, caresse ses reins. Toujours sans lui pousser ma verge dans les entrailles, je lui saisi délicatement les tétons et les torture doucement par des petits pincements. Je les sens maintenant réagir sous mes doigts. Petit à petit, l’étreinte annale qui enserre ma verge jusqu’après le gland se relâche. Lui saisissant la tête par les cheveux, je la ramène en arrière vers moi « A toi de jouer maintenant, tu y vas à ton rythme mais tu te la carre dans le cul complétement ». J’ai compris que mon langage vulgaire excite autant le garçon de bonne famille que la sodomie proprement dit. Par petit à coup, il s’emploie à s’empaler sur mon nœud. Après quelques minutes, il est à fond. Je profite de la glace d’armoire face à nous pour savourer les grimaces de douleurs qui ponctue ses efforts sur son visage. Je me retire document « recommence ». De nouveau il s ‘empale par petits à coups. « Tu aimes ? ». Un souffle me lâche un « oui » à peine audible. On dure ainsi une bonne heure. Lorsque je me retire complétement, j’observe son anneau qui est bien ouvert, et rougi sur les bords. « Je n’en peux plus, je vais m’évanouir », mon jeune amant est exténué. Je le saisi donc aux épaules, le redresse vigoureusement et le pénètre ainsi d’un coup. En même temps, je branle sa verge avec vigueur. En quelques aller-retour vigoureux je lui lâche la purée dans le cul au moment où il inonde son torse de son sperme. Nous nous écroulons l’un sur l’autre, ma bite encore dans sa grotte et ...