1. La maison de campagne


    Datte: 02/02/2019, Catégories: fh, ff, hplusag, fplusag, jeunes, extracon, grosseins, vacances, campagne, noculotte, intermast, Oral 69, pénétratio, méthode, confession,

    J’y connais rien moi aux femmes, ni aux bourgeoises ni aux salopes. J’ai jamais vu des tribades se grignoter le minou ou se cajoler la rondelle. Dans ma campagne on se trouve une donzelle on la lutine un peu dans les granges ou derrière l’église. Ensuite on la marie, on fait des gosses et voilà. Enfin c’était comme ça que je voyais les choses jusqu’à ce que les parisiens achètent la grange de l’Émile et se mettent à la décorer en « chaumière pleine de cachet ». Tu parles d’une pilule. La famille ça la fait bicher de venir à la ferme. Le cul bouseux de mes vaches c’est tellement « authentique », et mes poireaux sont tellement « naturels ». Té, j’en ai un autre bien naturel ! Je pensais en reluquant la Catherine, c’est le nom de la daronne. Gironde à souhait avec un cul plus beau que ma Rosalie, ma plus belle génisse. Et la Camille, le rejetonne 20-22 berges deux obus qui vous menacent sous des vêtements toujours trop courts. J’aimerais bien savoir où ils les vendent ces soutifs, ça améliorerait ma Rose, la patronne, ma femme. Elle, la Camille, c’est mes œufs qui la font pâmer. Pas ceux qui pendouillent dans mes braies, malheureusement, ceux de mes poules qui « vivent à l’air libre », je vais pas y faire des poules sous cloches ! Pour finir de vous peinturer la famille, il y a le Robert, le daron, qui se pique de jardinage et de bricolage, mais qui finit toujours par m’appeler au secours. Et puis il y le Jean, boutonneux de dix-huit ans, que la campagne fait chier. Il peut ...
    ... toujours caguer sur mon fumier. La Catherine, elle me trouve tellement « typique », un « bel homme », je fais « pas mon âge » il paraît. Ma Rose, ça la flattait au début et puis elle s’est mise à imaginer que ça voulait dire qu’à côté de moi elle faisait usée, tallée comme les vieilles pommes. C’est peut-être ça ? La Camille quand elle vient à la ferme avec ses frusques de la ville, elle se met sur la pointe des pieds pour pas crotter ses escarpins. Ça lui fait des jambes de chevrettes et ça remonte ses petites jupes trop courtes. Un jour elle a trébuché et j’ai vu sa petite culotte, à peine un fil dans la raie du cul. Putain de petit cul, ça m’a chatouillé les roubignoles. Nous, la Rose, on a pas d’enfants. Ce jour-là ma Rose elle a aidé la Camille à enlever les taches de sa jupe. Elle frottait avec son chiffon. L’autre main sous la jupe. Elle a jeté son petit coup d’œil. J’ai bien vu que ça la troublait la Rose, la culotte à ficelle. Sous la jupe la pogne de ma Rose s’est attardée un peu, un peu loin, la Camille avait les joues toutes rouges. Un soir, la Catherine est venue nous offrir une bouteille de scotch, un « pur malt » qu’elle a dit, le Robert nous l’avait rapportée d’Écosse. Pendant qu’elle causait avec ma Rose, j’ai été cueillir des fleurs pour la remercier. Elle avait l’air contente. Elle a approché les fleurs pour les sentir. Mais je n’avais pas enlevé ma main et mes doigts se sont retrouvés contre son sein. J’ai senti un petit téton tout dur. Pour le coup, c’est moi ...
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