1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 639)


    Datte: 02/02/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... la tête aux pieds, comme pour un bestiau. Ça m’excite. Je sais que d’ici la fin de la soirée, mon corps aura reçu les «hommages» de chacun d’entre eux. Cette pensée me rend mon courage. Je relève la tête et gonfle ma poitrine fièrement, comme une bonne petite pute. Je propose le plat à tour de rôle à tous les convives. Personne ne parle. Ils en sont à l’observation. Certains pourtant me frôlent «involontairement» en se tournant vers moi pour se servir. Un d’entre eux a même risqué de m’effleurer les fesses. Je me cambre légèrement pour lui faciliter la manœuvre. Le marquis ne perd rien des gestes de ses amis. Il me sourit gentiment comme pour m’encourager. Je repars en cuisine satisfaite de moi. J’ai plutôt bien réussi la première épreuve. Au deuxième service je fais en sorte de me pencher bien en avant afin que chacun d’entre eux puisse profiter de mon décolleté, aussi bientôt : - On ne pourrait pas en voir un peu plus de cette charmante pouliche. Je pense qu’elle a des nichons de déesses et c’est un péché de nous cacher ses mamelles plus longtemps. - Maître Dumont a raison, on a tous envie de voir et surtout de toucher, renchérit Maître Marsant, l’associé de mon Patron. - Vous n’avez aucune patience, mes chers amis, intervient David ironiquement, Aurélia vient ici. Docile, je m’approche de lui. Il se lève, se place derrière moi, d’un geste rapide dégrafe mon chemisier libérant mes seins puis il l’enlève aussitôt. Me voilà la poitrine à l’air devant des personnes que je ne ...
    ... connaissais pas il y a juste une heure. Je suis fière de m’exhiber ainsi. David se colle contre moi et titille mes mamelons pour les faire durcir. Chacun des invités y va de sa plaisanterie salasse. Ça m’excite de les entendre me traiter de : Salope, de chienne en chaleur, de petite pute… j’en passe et des meilleures. - On va passer une bonne soirée avec une cochonne pareille ! Après être passée entre toutes les mains, je retourne à la cuisine chercher le dessert. Il s’agit d’une mousse au chocolat. Je commence à comprendre pourquoi on a choisit ce dessert… Je crois que je vais servir de plateau repas. Je fais mon entrée avec le plateau sur lequel sont posées les coupes de mousse. Lorsque j’ai servi chacun des convives, Monsieur le Marquis d'Evans m’interpelle : - Viens, approche. Nos amis veulent en voir d’avantage. Comme c’est David qui t’a enlevé ton chemisier, il est normal que le privilège d’ôter ta jupe revienne à l’un de nos hôtes. Cela se fera sous forme de jeux de dés. Tu vas être le lot gagnant de celui ou celle qui fera le plus gros chiffre. Mesdames à vous l’avantage. Il y a de fortes chances que ce soit un homme qui gagne puisqu’ils sont plus nombreux. Mes Maîtres ne jouent pas, cela va de soit honneur aux invités. Chacun lance les dés à tour de rôle et ils s’amusent comme des fous. Je reste stoïque à côté de de Monsieur le Marquis d'Evans, attendant le vainqueur. - Douze, annonce un homme. Il s’agit d’un jeune médecin, Docteur Pierre Vernain, installé depuis peu ...
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