1. Fin de soirée au Sauna


    Datte: 03/02/2019, Catégories: ff, fhhh, grp, couple, extraoffre, sauna, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation intermast, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, échange,

    ... présentés généreusement, des gourmandes de jouissance… halètements, onomatopées, soupirs envahissent la pièce au plus grand plaisir des quelques spectateurs tant hommes que femmes qui pour les uns s’astiquent la bite et les autres le clitoris tout en se doigtant. Mais point de « Pépettes » dans ces parages. Nous ressortons, légèrement excités voire même carrément bandants. Je me souviens, le prochain espace doit être leglory-hole. Connaissant bien nos chères petites femmes, elles peuvent aussi se trouver dans ce lieu de stupre. Elles (Véro encore plus que M, ce n’est pas peu dire) aiment à prendre le sexe d’un homme dans leur bouche, le lécher de haut en bas puis remonter jusqu’au gland, en faire le tour de leur langue humide. Redescendre par en dessous, de la pointe, en suivant cette grosse veine bleue jusqu’aux bourses bien pleines. Les gober, les aspirer, les mordiller avec précaution. Remonter encore au gland, appuyer tendrement, de deux doigts, au niveau du méat et y déposer un copieux filet de salive dont elles sont friandes d’en badigeonner la totalité de ce bâton de joie. Le sentir bien dur, pulser entre leurs doigts fins et le prendre jusque bien au fond de leur bouche gourmande tel un second vagin. Aspirer cette hampe en faisant tournoyer leur langue sur le gland turgescent tout en la branlant vigoureusement. Lever les yeux et observer sur le visage de leur proie tout le plaisir qu’elles donnent. Leur plaisir à elles, sentir les contractions partant des couilles, ...
    ... remontant tout au long de la tige rigide, expulsant trois ou quatre jets puissants de sperme chaud et visqueux dans leur bouche assoiffée de faire du bien. Nous entrons dans ce temple du phallus. Face à la porte, deux hommes sont plaqués le long de la cloison. L’un parfaitement immobile telle une statue de marbre (pour la raideur mais pas insensible). L’autre lance ses hanches en avant, doucement et régulièrement. Lorsqu’il revient en arrière, un léger rayon de lumière venant de l’autre côté de la paroi éclaire sa bite luisante. D’un signe, Jean-Louis me fait comprendre qu’il contourne la pièce par la droite. Je passe par la gauche en suivant cette nouvelle paroi. Trois autres hommes sont dans une position identique, la bite passant par le trou de ce mur. Ils ont l’air aux anges. Lequel est sucé par ma petite femme ? Ou bien est-il branlé ? À moins qu’elle n’ait approché son cul tout contre cette mince feuille de contreplaqué, lui suçant le bout de la bite avec sa chatte ? J’ai hâte de contourner l’endroit afin d’accéder là où sont les femmes. Nous débouchons, Jean-Louis et moi en même temps, dans côté « enclos des femmes ». Nous nous asseyons confortablement dans un fauteuil, prenons le temps de jouer aux voyeurs. Ma main se pose sur ma bite qui commence à gonfler. Je me caresse gentiment. Certaines femmes sont à genoux, la bouche occupée. D’autres accroupies ou encore debout branlant énergiquement les forets de chair. Deux hommes, profitant de l’occupation de ces dames, ont ...
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