Fin de soirée au Sauna - Histoires de Sexe

Fin de soirée au Sauna

... en redemander. Mais vous, vous n’avez pas joui, mes chéries, laissez-moi essayer d’appliquer vos conseils… Je m’allonge sur le dos et vous venez toutes les deux au-dessus de ma tête me montrer vos petits bijoux ! Ne se le faisant pas répéter, nos deux amies s’empressent de se mettre, l’une devant l’autre, à califourchon les jambes bien écartées au-dessus de cette bouche qui veut goûter leurs sucs. Sophie prenant le temps d’admirer ces si jolies fentes, veut rendre autant de plaisir qu’elle en a obtenu. Caresse les deux chattes largement offertes, grandes lèvres béantes dans l’attente d’être visitées. M frotte ses seins sur le dos de Véro tout en malaxant d’une main les seins de sa copine et de l’autre ceux de leur « apprentie ». — Je suis tout excitée, ma belle Sophie… Tu sais, Véro, qu’elle me fait mouiller sans même me toucher cette petite délurée.— Ne m’en parle pas, je coule sur sa figure. Lèche-moi, lèche-nous, petite salope jouisseuse !— Véro, reste correcte, ma chère !— Non, j’adore quand elle me dit ça. Ça m’excite encore davantage. Toi aussi, M, tu peux me traiter comme la petite salope que je suis et qui va bouffer vos deux chattes comme une seule… Ah ! si mon homme me voyait, il serait fier de moi. Il banderait comme un phoque en me regardant faire et en admirant vos trésors dégoulinants. Il me fourrerait ses doigts, se branlant lentement pour profiter longuement de nous… Je vous bois ! Effectivement, Sophie colle sa bouche grande ouverte sur les deux chattes, ...

... les aspire, les visite de sa langue aussi bien que les deux compères le lui ont fait cinq minutes auparavant. Elle les lape, les fouille, triture les clitoris décapuchonnés, déguste les rondelles bien ouvertes jusqu’à ce qu’elles explosent leur jouissance sur son visage d’ange. La bouche grande ouverte, Sophie recueille le jus douceâtre et parfumé qui s’écoule de ses comparses. Elle avale leur nectar avec gourmandise. En nage, essoufflées, les filles s’allongent de chaque côté de leur brouteuse. Lorsqu’elles ont repris un peu leurs esprits, elles se retrouvent enlacées toutes les trois s’embrassant à pleine bouche, amoureusement. Souriantes de ces bienfaits partagés. Enfin remises de leurs émotions, elles s’asseyent en rond, les cuisses écartées et s’admirent de haut en bas laissant échapper des soupirs de bien-être. Après les mains, les langues, c’est au tour des yeux d’apporter du bonheur. C’est Sophie qui brise le silence établi : — Merci, merci à vous deux de m’avoir appris à refouler ma gêne, mes principes. Quel feu d’artifice vous m’avez offert ! Je ne regrette qu’une seule chose c’est de n’avoir pas écouté mon homme plus tôt. Je croyais qu’il voulait seulement que je réalise un de ses phantasmes. Aujourd’hui, grâce à vous, je sais qu’il est aussi bon de faire l’amour avec une femme (et… plus, si affinité) qu’avec un homme ! Mais je le dois aussi à ton compagnon, ma M, c’est lui qui m’a proposé de me présenter à vous… Et…— Et quoi, ma biche ? lancèrent en cœur les deux ...