Fin de soirée au Sauna - Histoires de Sexe

Fin de soirée au Sauna

... Alors les biches, vous partez à deux et revenez à trois… Plus jolies les unes que les autres. Dis-moi Jean-Louis., si Sophie possède le quart du tempérament de M et de Véro, nous ne pourrons pas satisfaire leurs attentes.— Doucement, mon beau mâle, à chacun la sienne… Claude, le mari de Sophie, va nous rejoindre dans un instant… d’ailleurs, le voici.— Max voulez-vous nous servir une tournée de votre excellent élixir, s’il vous plaît ? Tout le monde est d’accord ? Qui ne dit mot acquiesce donc, six, Max.— Pour les présentations, les filles nous nous connaissons à fond… Sophie, je te présente Jean-Louis., le mari de Véro et grand coquin devant l’éternel… Je ne te présente pas mon homme, vous vous êtes « causé » en aparté en début de soirée et c’est grâce à lui que nous nous sommes rencontrées, ma chérie.— Et tu m’en vois fort aise, ma belle M. Donc, à tous, je vous présente Claude mon mari à cause duquel j’ai croisé votre vie, les filles. Je plaisante, ce n’est pas « à cause », mais « grâce » à lui. S’il n’avait pas autant insisté pour que je me lance dans le saphisme… Lui aussi est très penché « sexe » ce qui n’a cessé d’unir notre couple, du premier jour jusqu’à ce soir. Claude, svelte mais baraqué, un mètre quatre-vingt comme moi, cheveux courts brun foncé pour ne pas dire noir comme un corbeau contrairement à votre serviteur qui est gris clair (à vingt-cinq ans je grisonnais déjà sérieusement). Le visage carré, le regard vif (prouvant une évidente intelligence et vivacité ...

... d’esprit), se fondant dans les yeux des femmes et suivant les courbes graciles de leurs corps prouvant par là même tout l’intérêt qu’il leur porte. À voir Véro et M, visiblement, il ne les laisse pas indifférentes, bien au contraire. Elles lui sourient d’un air plus que prometteur. Je souris aussi tout en pensant à ce que nos femmes imaginent dans ce moment de découverte. Nous parlons de choses et d’autres, du genre : — Que fais-tu ? Où bosses-tu ? Et toi ? Nous aimons bien ceci mais pas cela… Enfin nous faisons connaissance avec nos nouveaux amis de circonstances. Claude, très à l’aise, sympathique, souriant, avenant tant auprès de nos petites femmes que de nous les hommes, intéressé par les propos de chacun… Enfin, bien Claude ! — Mais, dis-moi ma Sophie adorée, amour de ma vie, j’ai la très nette impression que tu as été « soulevée » par deux gentilles « harpies » qui sont arrivées à te faire réaliser tes envies ?— Oooooh oui, mon cœur… et je te remercie de m’avoir confinée dans ce temple dédié aux femmes. Au début, je ne savais pas quelle contenance prendre. Je m’ennuyais un peu, même. Je t’en voulais de m’avoir laissée seule. J’ai, aussi, été un peu jalouse de te savoir prendre du plaisir sans que je puisse te voir et sans pouvoir en prendre moi-même. Et puis, le spectacle qui se déroulait sous mes yeux, les caresses, les baisers, les soupirs de ces femmes sur la scène, tout ça a commencé à me faire monter la pression. Mes pulsions, mes envies de faire l’amour avec une ...