La Gobeuse 02
Datte: 03/02/2019,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur,
... Ils s'étaient presque tous rhabillés et regardaient le spectacle. Je savais aussi que les caméras enregistraient toute la scène. « Oui, Suzichan, tu peux boire. Prends le bol et bois tout. Et alors tu remercieras humblement ces hommes pour ton bukkake. » Qu'est-ce que je pouvais faire d'autre si je voulais en finir? Vider le contenu du bol parut durer une éternité, il y avait à la fois du sperme et de la salive. J'étais presque certaine que j'allais tout régurgiter, mais non. Tout cela resta obstinément dans mon estomac, Yasuko utilisa la cuillère pour être sûre que les derniers morceaux aillent bien dans ma bouche. « Merci à vous tous, Messieurs, pour mon bukkake, » dis-je à voix basse. « Très humble, Suzichan, mais dis-le plus fort, » insista l'écolière-femme. Je répétais la phrase plus clairement et elle me passa un torchon mouillé pour que je puisse me laver le visage. Même si pour le reste de la soirée je dus rester dans le même costume taché de sperme, et avec des morceaux de foutre séchés dans les cheveux. Perversement, les hommes voulaient me caresser le bidon comme pour se convaincre eux-mêmes que j'avais bien avalé tout le sperme. Moi bien sûr, je savais que j'avais toute cette masse à l'intérieur, c'était comme si je pouvais la sentir barboter dans l'estomac. ***** J'étais déterminée à me rebeller après ça, à montrer mon indépendance même d'une petite façon. Mais au moins prouver que je n'étais pas complètement sous leur emprise. Je passais le week-end à me ...
... demander ce que je pouvais faire pour recouvrer un peu d'amour propre sans que mon patron ne perde la face et ne me donne une mauvaise évaluation. Car, à mesure que le reste de ma vie volait en éclat, cette évaluation avait pris une signification capitale pour moi. Par contre j'avais songé à déménager et prendre mon propre appartement, je pouvais financièrement me permettre de louer un studio, mais cela signifierait que je serais toute seule et je ne voulais pas perdre l'amitié de Reika. J'avais besoin de sa compagnie, même au prix de sa domination sur moi. Cela allait si loin que même être forcée de regarder les épouvantables DVDs avec elle le dimanche ne m'avait pas fait changer d'avis. Après avoir pesé le pour et le contre tout le week-end, je décidais de me rebeller et de me m'affirmer en me confrontant au tripoteur anonyme du métro. Il perdrait la face, comme moi, mais j'étais déterminée. J'allais donc au métro le lundi matin, sans dessous comme d'habitude selon les ordres de Reika, et à l'arrêt où nous changions de ligne je sentis sa présence familière derrière moi un peu sur la gauche ; comme d'habitude, Reika me faisait face. Comme je sentais ses doigts défaire ma jupe et descendre dessous pour me peloter la chatte, je fis un brusque demi-tour pour lui faire face, tout en tenant ma jupe pour être sûre qu'elle ne tombe pas sur mes genoux. Je ne sais pas à quoi je m'attendais, quelque papy vicelard sans doute. Mais ce n'était pas le cas : c'était Monsieur Kurokawi, un des six ...