Elle et lui
Datte: 03/02/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
J’étais certain qu’un jour ou l’autre, cela arriverait. Ce jeune garçon occupait ses pensées depuis un trop grand nombre de semaines. Toutes ses pensées, le jour et la nuit, surtout la nuit d’ailleurs. Je l’imaginais souvent, le corps fiévreux, empli d’une moiteur coupable que la chaleur de la nuit n’expliquerait sûrement pas. Et puis, cela arriva, certainement pas tout à fait ce dont elle avait rêvé, encore que… Il l’avait vue, au détour d’un couloir, leurs regards s’étaient croisés, ce pétillement dans son regard à elle, dans ses grands yeux rieurs et ils avaient compris tous les deux que le moment était arrivé. Tous les messages, tous les petits bonjours de la tête de manière anodine s’étaient effacés pour laisser libre cours à la folie ou la furie sexuelle qui allait voir le jour. Sans un mot, il l’avait prise par le bras et l’avait conduite dans un endroit qu’elle ne connaissait pas. Finalement, cette entreprise dans laquelle elle travaillait depuis quelques années, elle ne la connaissait pas si bien. Le grand atelier se trouvait à deux portes seulement et pourtant ils étaient seuls, pouvant laisser enfin libre cours à leur sens enivrés. Ils étaient dans une sorte de réserve, remplie de petits cartons contenant du matériel informatique ou mécanique. Il y avait un bureau, remisé là par manque de place et une chaise, prévue certainement pour accéder aux cartons des étagères supérieures. Il avait allumé les néons et la lumière blafarde les avait un peu surpris. Tout de ...
... suite, elle l’avait attiré contre son corps par les épaules, sa respiration s’était un peu accélérée et devenait haletante. Elle pressa ses lèvres contre les siennes pour un léger baiser très doux, puis un second, un peu plus appuyé, puis un troisième, encore plus. Ce petit manège dura quelques minutes pour arriver à de longs baisers passionnés où la langue de chaque partenaire se mélangeait avec volupté dans la bouche de l’autre. Il ne resta pas inactif très longtemps, ses mains, restées très douces malgré le travail manuel cherchaient son corps et ne mirent pas bien longtemps à le trouver. Il les avait enfouies sous son pull et lui caressait le ventre avant de remonter vers sa poitrine, généreuse et ferme. Tout en l’embrassant, il commença à dégrafer son soutien-gorge, et lorsque ses grandes mains enfermèrent ses seins entièrement, elle poussa un premier gémissement de plaisir. Faisant passer le pull par-dessus la tête, elle se retrouva les seins nus. Il descendit son visage en lui donnant de petits baisers par là où il passait, le cou, les épaules, la naissance des seins, à gauche, à droite… Elle devenait toute électrisée par le plaisir que cela lui procurait. Enfin, sa bouche trouva la pointe de ses seins, durcie tant par le désir que par la fraîcheur de la pièce. Très sensible à ce genre de caresses, elle se laissait complètement aller et de grosses vagues de chaleurs envahissaient le bas de son ventre. Elle défit les boutons de sa chemise et commença, elle aussi, à donner ...