Un père vicieux (1)
Datte: 04/02/2019,
Catégories:
Gay
Mon père, Jacques, a eu son seul fils, moi, Eric, assez jeune. Il s’était marié trop jeune, et le couple marchait mal. Aussi dès que j’eus 18 ans ( et mon père 37 ), mes parents divorcèrent. Je faisais encore mes études, et suis resté vivre avec lui. Il se retrouvait relativement désoeuvré après le travail, et prit l’habitude de fréquenter le bar que tenait son copain d’enfance, Claude. Parfois, il ne rentrait qu’à la fermeture, à 22h30. J’étais assez grand pour me préparer à manger tout seul. Claude devait certaines fois le « virer » à l’heure de la fermeture. Et même, parfois, doutant de son taux d’alcoolémie, le raccompagner chez nous en voiture. Un soir, Claude remarqua, à l’heure de la fermeture que mon père, qui était allé aux toilettes, avait laissé sa braguette ouverte. Après la fermeture, pensant mon père ivre, il décida de ne pas le raccompagner, mais de le conduire dans l’arrière salle, et de le laisser « cuver » son alcool. En fait, mon père n’était pas ivre, mais faisait semblant, et avait laissé sa braguette ouverte, pour provoquer Claude, qu’il savait gay. Mon père ne tarda pas à émettre des ronflements, braguette ouverte. Ce qui excita Claude qui vint tout doucement glisser sa main dans la braguette et caresser doucement. Il sentit le sexe durcir. Encouragé, il défit la ceinture du pantalon et le glissa doucement aux genoux. Il était évident que mon père avait une belle érection. Claude le retourna doucement, et le mit sur le ventre, puis baissa doucement son ...
... slip pour lui mettre le cul à l’air. A son âge, mon père avait un beau cul, ferme et rebondi, très légèrement poilu. Un beau cul de mâle qui excita le pédé qu’était Claude. Il lui écarta les fesses, et glissa tout doucement un doigt mouillé de salive dans le cul. Ca rentrait bien. Claude enfila une capote, s’allongea doucement sur mon père et enfila sa bite. Mon père ronflait toujours. Claude le baisa en douceur, et vers la fin, les ronflements firent place à des gémissements de plaisir. Claude prit le temps de jouir, avant de reculotter mon père et de le ramener chez nous. J’avais l’habitude de lire dans mon lit en soirée, et vers 22h30, d’entendre Claude ramener mon père dans sa chambre, au-dessus de la mienne, puis redescendre l’escalier et sortir. Un peu honteux de l’ ivrognerie (feinte) de mon père, je ne m’étais jamais manifesté. Le lendemain du jour où Claude avait baisé mon père dans son arrière-salle, je les entendis rentrer. Mais .. je n’entendis pas Claude redescendre. Intrigué, j’ouvris doucement la porte de ma chambre. Je vis l’escalier, dans la pénombre, et en haut, la porte de la chambre de mon père entrebâillée, et il y avait de la lumière dans la chambre. Je grimpai l’escalier à pas de loup, et jetai un œil par l’entrebâillement. J’eus un haut le corps. Je vis mon père, me tournant le dos, à poil sur son lit, allongé sur le ventre, jambes écartées, et Claude au-dessus de lui, l’enculant allègrement. Je sentis ma bite se dresser dans mon froc. Le spectacle du ...