1. Mon bel étalon (9)


    Datte: 14/08/2017, Catégories: Zoophilie,

    ... porte et apparait simplement vêtue d’un de mes tee-shirts qui lui laisse le bas des fesses découvertes et lui couvre tout juste le sexe. Elle ouvre de grands yeux quand elle me voit tenant Céline par les épaules et elle par la taille. Elle me saute dessus pour m’embrasser, se tourne vers Céline, la prend dans ses bras et l’embrasse. Elle la fait reculer, tourner sur elle-même. Céline se laisse faire, j’ai l’impression qu’elle ne comprend pas bien ce qui lui arrive. Mais sa jupe s’envole un peu dévoilant le bas de ses fesses. Sophie se recule. –Superbe, tu es superbe, en plus très sexy, je dirais même plus, bandante, tu as une culotte ? Céline rougit, elle me regarde. –Ne t’en fait pas, je pense que Sophie t’adore. –C’est exact, j’adore les filles comme moi, sans culotte, et plus particulièrement la fille qui est avec mon frère quoi que je ne comprenne pas tout à fait ce qui se passe, tu n’es plus gay ? –Il faut croire que j’évolue. Elle se jette une nouvelle fois sur Céline pour l’embrasser. –Merci Céline, merci d’avoir rendu aux femmes un tel homme. –Je ne suis pas sûre qu’il soit complètement revenu aux femmes. –En tout cas, c’est un début, et souviens toi de ce que je t’ai dit une fois mon frère chéri. Je n’ose penser à ça. Nous rentrons dans le salon, il fait très chaud, Céline se tourne vers moi avec un petit air de défi. –Il fait chaud, on fait comme chez moi ? Je la regarde et commence par faire passer mon tee-shirt par-dessus ma tête pendant que Céline ...
    ... déboutonne son corsage. C’est Sophie qui gagne, elle n’avait qu’un tee-shirt sur la peau qui a valsé en dix secondes. –Tu croyais me surprendre, Michel, tu sais très bien que je suis tout le temps à poil chez moi, je ne supporte pas les fringues surtout quand il fait chaud. Quand nous sommes tous nus, je vois le regard de Céline sur Sophie, elle se réservais pour moi, mais ce qui est sûr en la voyant c’est qu’elle aime toujours les femmes et le corps de Sophie ne peut que lui donner des idées. Elle doit apprécier ses seins hauts et fermes, son joli pubis lisse, ses fesses d’enfer, ses jambes longues et la splendide couleur de sa peau. Je vois qu’elle apprécie. –Elle te plait ? Céline me regarde, étonnée de la question. –Ma sœur te plait ? –Comment un tel corps peut-il ne pas me plaire, ou du moins, à quelqu’un qui aime les beaux corps de femmes, et qui aime les faire vibrer comme moi. –C’est réciproque, moi aussi j’aime faire vibrer les beaux corps de femmes, et le tien m’inspire, beaucoup même. –Ok les filles, n’oubliez pas que je suis là. Elles se regardent et viennent toutes les deux vers moi pour déposer une bise chacune sur une joue. Je sens quatre mains sur moi, quatre mains qui se promènent sur mon dos, mes fesses, et s’attardent même sur mon sexe. Je me dégage pour leur faire face. –Qu’est-ce qui vous prend ? –Juste voir jusqu’où on peut aller. –Ok, vous avez vu, c’est fini, dis donc Céline, je croyais qu’aucune femme ne devait me toucher. –C’est ta sœur. –Parce que c’est ...