VOYAGE DE NOCES EN AFRIQUE
Datte: 05/02/2019,
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Dans la zone rouge,
... jambe libre pour faciliter la pénétration. Elle a tourné la tête pour voir si son mari s'apercevait de son abandon, mais le pauvre homme avait bien d'autres chats à fouetter. Le deuxième voyou avait lui aussi ôté son pantalon, et se masturbait tranquillement sous le nez du mari, très près de sa bouche, et son mari se tortillait, inquiet, se demandant si ce type n'était pas homosexuel. Tranquille de ce côté-là, elle s'installa aussi confortablement que possible en essayant de tirer profit de l'assaut qu'elle subissait. Le gaillard la limait fort, il était grand et vigoureux, le lit tremblait sous ses coups de reins puissants, et les gémissements de la jeune femme se mêlaient aux grincements du sommier. À côté, le jeune mari que le second bandit avait laissé tranquille, se mettait à pleurer en entendant sa jeune épouse céder à la convoitise. Elle aurait aimé tendre sa main pour consoler son mari, le presser contre elle pour lui signifier son amour, que ça ne changerait rien à leur union, qu'elle l'aimait, même si elle appréciait beaucoup ce que ce salopard lui faisait subir. Mais elle ne pouvait pas, ses mains étaient attachées au-dessus de sa tête. Mais en même temps, le sexe du violeur commençait à produire son effet, alors elle a levé haut sa jambe libre, posant son pied sur les fesses de l'homme pour l'encourager à plus de rudesse, en oscillant du bassin pour accentuer les coups qu'elle recevait. Ooh, oui, c'était mieux. Bien mieux même, en accélérant sa cadence il ...
... pouvait mieux la pénétrer, et pour elle aussi c'était meilleur car à présent sa chatte en ébullition était sollicitée sur toute sa profondeur. Le mari ne pouvait que constater les dégâts, sa jeune épouse se faisait prendre sous ses yeux comme une salope, baisée par un jeune africain au sexe disproportionné. Elle devenait vraiment bruyante maintenant, ses gémissements couvraient les grincements du sommier parce que le jeune étalon la baisait si fort et si profond que le mari pensait qu'elle aimait être violée. La vérité était plus complexe. La jeune femme avait cessé de s'inquiéter de ce que pensait son mari, l'esprit totalement accaparé par les sensations nouvelles que lui procurait cette bite surdimensionnée qui la prenait à cru. Elle appréciait le moment, pensant pouvoir lui expliquer plus tard qu'elle avait simulé pour abréger l'agression. Alors que se formait dans ses reins une houle annonciatrice d'un orgasme ravageur, l'homme noir commença à ralentir, sa queue se tendit encore plus et cracha ses jets de sperme fécond au fond de l'utérus fertile de la jeune anglaise. Elle était à la fois inquiète d'être imprégnée, et en même temps frustrée de ne pas avoir eu le temps d’exulter. Si cet imbécile avait pris son temps pour la préparer correctement au début, elle aurait probablement eu la possibilité d'éprouver une jouissance, mais là c'était le fiasco complet. Pourtant, elle pouvait le sentir palpiter encore en elle, tellement présent qu'elle essayait de redémarrer la machine en ...