1. La secrétaire de "Fort des Pleureuses"


    Datte: 05/02/2019, Catégories: fh, fplusag, Collègues / Travail pénétratio, confession,

    Cette histoire s’est passée en 2001, elle est réelle. Seuls les lieux et les prénoms ont été changés pour conserver l’anonymat des protagonistes. Je venais d’être affecté au "Fort des Pleureuses", contre mon gré, dans un poste qui me rebutait avant même de le découvrir. En effet, je me retrouvais à remplacer deux personnes dans des fonctions que je n’avais jamais exercées. Outre le management de l’équipe que j’allais avoir en charge, j’allais devoir faire preuve de qualités d’adaptation au fur et à mesure où je découvrirais l’ampleur de la tâche. Je fis donc la connaissance de mon équipe de travail, cette dernière était composée de six personnes, dont Mme G, la secrétaire, Karine de son prénom. Cette dame, âgée de 44 ans, était séparée et déjà mère de trois grands ados. La différence d’âge (j’avais 35 ans) et la différence de fonctions ne fut pas une barrière. Bien qu’étant son chef de service, nous avions sympathisé immédiatement ; ses qualités professionnelles et sa bonne humeur quotidienne étaient pour moi une source de réconfort. Elle avait une silhouette agréable que trois grossesses n’avaient pas déformée, des hanches pleines, une poitrine naturelle, massive et lourde, des jambes galbées entretenues par une pratique régulière de la course à pied. Et, pour finir, un magnifique regard plein de vie et d’espièglerie. C’était une femme épicurienne qui appréciait la bonne chair, le partage d’agréables cépages et qui ne s’offusquait nullement devant une plaisanterie grivoise. ...
    ... Le travail nous rapprocha peu à peu ; elle m’enlevait régulièrement des épines du pied en faisant tout son possible pour me faciliter la tâche. De mon côté, je faisais en sorte d’exercer un management plutôt souple sur l’équipe afin de créer un véritable esprit de cohésion. En dehors du travail nous partagions une passion commune qui était la course à pied. Régulièrement nous avalions les kilomètres ensemble, si bien que cela nous rapprochait progressivement un peu plus. Il faut dire qu’elle était plutôt désirable dans ses petits shorts moulants et dans ses débardeurs de course qui lui moulaient la poitrine. Elle savait aussi s’habiller plutôt sexy – et jamais vulgaire – au quotidien. Petite jupe laissant découvrir ses jambes, petit chemisier, talons, la parfaite tenue de la secrétaire modèle. Je ne pouvais m’empêcher de respirer les effluves de son parfum lorsque nous travaillions l’un à côté de l’autre, ni m’empêcher de regarder ses ongles rouges carmin ou plonger mon regard dans ses décolletés vertigineux. Un jour, alors que nous revenions d’un de nos footing, je lui proposai de venir s’étirer dans la salle de sport du fort, étant le responsable de ce local de par mes fonctions, j’étais le seul à posséder les clés donc certain de ne pas être dérangé. Mon professionnalisme m’amena à lui faire quelques remarques sur son manque de souplesse et sur les raideurs que cela pouvait lui occasionner. Je lui dis que c’était parce qu’elle était trop tendue et qu’elle n’arrivait pas à ...
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