1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (39) : notre cadeau de mariage.


    Datte: 05/02/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... tout avait été fait pour que je tombe dans les bras de Pierre. Aux yeux de nos invités et de la famille, nous nous étions assagis et nous allions passer une nuit de noces « classique », moi me réservant pour les assauts d’un mari revigoré. Nous avions d’ailleurs passé la soirée ensemble, et je n’avais eu de cesse de chauffer Philippe. Lui de son côté se montrait de plus en plus audacieux et, si je ne l’avais pas retenu, il aurait été capable de m’honorer en public. Nous partîmes donc assez tôt et sous les applaudissements de nos invités, convaincus que Philippe allait me baiser toute la nuit. Nous arrivons chez nous. Philippe n’a pas remarqué qu’une voiture est stationnée, avec deux hommes à bord qui attendent un signal. MON CADEAU DE MARIAGE Une fois dans la chambre, Philippe retire d'une main experte l'encombrante robe de mariée et les dessous en dentelle. Je me retrouve nue en un clin d’œil. Affichant son sourire le plus enjôleur, il avance des mains caressantes vers mon corps. Il le connait si bien et pourtant il s’émerveille toujours de la douceur de ma peau et de la finesse de mon corps. Philippe me prend dans ses bras, goûtant le contact de ma peau nue et chaude. • Doucement, mon chéri, nous avons toute la nuit jusque l’aube et même au-delà. Mets-toi en slip. Hum, tu as une superbe érection. • Tu m’as rendu fou toute la journée, Olga ! • Tu n’es pas au bout de tes surprises, mon mari. Je reviens. Je revins avec une tenue sexy qu'on avait achetée ensemble : une ...
    ... guêpière noire, en dentelles, mini string, bas noirs et hauts talons ! Philippe était prêt à me sauter dessus. • Mon chéri, assieds-toi sur ton fauteuil ! Assis, je lui attachais les jambes et les mains derrière le siège. Il était excité. Il savait à quoi servait habituellement ce fauteuil. C’était celui où, assis et nu, il matait mes ébats et finissait par jouir sans même avoir besoin de se toucher. Il se doutait que cette nuit serait particulière. Je commençais par m’asseoir sur lui, à l’embrasser et le caresser, en jouant de mon corps et de ma poitrine. Philippe devenait fou de désir, il allait exploser. • Maintenant la surprise, mon petit mari candauliste. Je sortis de la chambre et revins deux minutes plus tard. J’étais accompagnée de deux mecs, deux grands gaillards bien baraqués, que j’avais rencontrés à la salle de sports que je fréquentais et qui m’avaient dragué ouvertement. Je leur avais fait comprendre que ça ne m’intéressait pas. Ils furent d’autant plus surpris quand, peu après, je les abordais et je fus très directe : • Vous vous intéressez toujours à moi ? • Ben oui, faudrait être un impuissant pour ne pas être attiré par une femme comme toi. • Mais la dernière fois tu nous as dit sèchement de te laisser tranquille, que tu n’étais pas libre • On ne va pas y aller par quatre chemins : vous voulez toujours me baiser ? • Et ben dis-donc t’es directe toi ! Evidemment qu’on rêve de te sauter ! Je leur ai expliqué que Philippe était candauliste et que je voulais donc lui ...
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