Ophélie, de femme à femelle (13)
Datte: 05/02/2019,
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Dans la zone rouge,
... dessus, me griffant de temps en temps, j’essaie de le repousser, de m’échapper et, au bout de longues minutes, j’entends mon maitre me rappeler, enfin me siffler plus précisément. Je me précipite vers lui, essayant de courir à quatre pattes, comme une véritable chienne, le spectacle doit être grotesque, mais je m’en fiche, je veux me protéger derrière mon maitre, fuir ce chien qui ne pense qu’à jouer. Arrivée aux pieds d’Arnaud, il me rattache et me fait passer entre ses jambes, serrant ses genoux contre ma taille, pour surement me protéger du chien. J’essaie de reprendre mon souffle et, de remettre un peu d’ordre dans ma tenue, lorsque je sens quelque chose de froid contre mes fesses. J’essaie de me retourner pour voir ce qui se passe, mais dans ma position je ne peux rien apercevoir. Le truc froid se fait plus insistant et, quand je sens en même temps le souffle chaud, je devine avec effrois que c’est le chien qui est en train de me sentir le cul, comme une véritable chienne. Prise de panique, je tente de me dégager mais, Arnaud me maintient fortement et en me tirant sur la laisse me dit : - Ne bouge pas sale chienne, à force de l’exciter, il doit bien vérifier si tu es à son gout ! Sa truffe parcours toute mon intimité, il me sent le cul, la chatte, les cuisses, je sers les fesses pour échapper à cette humiliation, mais il force, donnant des coups de nez contre mes fesses, et une nouvelle pression sur ma laisse m’indique qu’il faut que je me détente. Je me déteste d’être ...
... aussi faible et d’obéir ainsi, mais n’écoutant que mon maitre, je m’ouvre, j’écarte les cuisses, laissant l’accès de toute mon intimité à ce chien qui, comprenant l’invite commence à me laper la chatte. Le premier contact avec cette grosse langue râpeuse, partant de mon clitoris à mon cul en une seule fois me fais frissonner. Le deuxième coup de langue me fait pousser un Ah de bonheur, sentir cette grosse langue m’écarter les lèvres, me fouiller la chatte et me taper le clitoris avec force, fait voler en éclats toutes mes limites, me fait oublier cette humiliation. Je me délecte de cette situation, si bien que lorsqu’Arnaud desserre son emprise et me libère, je ne bouge pas, au contraire, je jette me fesses contre mon lécheur canin, voulant le sentir me lécher toute la chatte en un seul coup de langue, me fouiller le cul et la chatte avec cette râpe. Je les entends me traiter de chienne, de salope, prête à se faire saillir, et il ne m’en faut pas plus pour partir dans une longue plainte, une longue jouissance, si forte qu’elle me fait rouler sur le côté. J’essaie de repousser la tête du chien, forçant encore pour boire tout mon jus, ne me laissant aucun répit dans ma jouissance. Sous mes plaintes et supplications, quelqu’un vint retirer le chien de mon intimité, me laissant seule allongée par terre, secouée de spasmes de plaisir, caressant encore ma chatte toute baveuse. Je reprends mes esprits, me calme et en ouvrant les yeux, je vois le jeune propriétaire du chien en train ...