1. Vanessa, elle existe, je l'ai rencontrée. (9)


    Datte: 05/02/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    Une heure plus tard on est de retour chez elle, on ouvre la porte que l’on avait pris soin de fermer à clé, et on s’approche sans bruit de la chambre. Elle dort profondément dans sa parfaite nudité, encore souillée de nos débauches. On s’éclipse doucement à la cuisine, et on trouve de quoi se faire un café. On discute d’elle, obligatoirement, de toutes les choses incroyables qu’elle a réalisées en notre compagnie, aussi cochonnes et perverses que celles qu’elle écrit. On se refait notre soirée, notre nuit, et on a du mal à réaliser notre chance de l’avoir comme copine. L’heure tourne, il est midi, et elle dort toujours. On décide de sortir, d’aller manger dans un resto, et on lui laisse un petit mot des plus gentils pour l’informer et surtout lui dire que l’on revient. On s’est restauré, on revient, elle n’est plus dans son lit et on entend la douche couler. On se refait un café, maintenant que l’on connait la maison, et on s’installe au salon. Elle nous rejoint vite après, toute guillerette. Elle est légèrement vêtue, un long t-shirt sans rien dessous, et nous salue d’un tendre baiser sur la bouche. Elle a un petit creux et nous abandonne pour aller grignoter à la cuisine. Elle nous retrouve quelques instants après: — Je suis crevée, je vais me reposer, vous venez? — Bonne idée, on n’est pas très en forme nous non plus. On la suit à la chambre et elle s’allonge au milieu du lit, nous confirmant son envie de nous avoir avec elle. On se met à l’aise avec mon beauf, moi en ...
    ... slip, lui en caleçon, et on s’allonge de chaque côté de son corps superbe. Ses mains se posent entre nos cuisses, nous massent quelques secondes à travers les tissus, avant de glisser sous nos dessous. C’est agréable, mais inattendu: — Je croyais que tu étais crevée! Tu veux baiser? — Non, je veux juste un petit câlin. C’est bon de vous caresser la bite et les couilles! Ça me détend. — Tu as le mot pour rire, si ça te détend, nous ça risque être l’inverse. — J’espère bien, c’est bon de caresser des queues bien raides! — Salope, on va te caresser nous aussi, déshabille toi. Elle enlève son t-shirt, son seul vêtement, et on en profite pour enlever le notre. On se retrouve à poil tous les trois, allongés dans son lit, et on se tourne vers elle. Elle s’empare aussitôt de nos sexes, et on sent ses douces mains coulisser sur nos manches ou peloter nos boules. Je veux lui masser la vulve, mais mon beauf m’a pris de vitesse; je me rabats sur ses seins. Je caresse sa poitrine, un 85c d’une tenue exemplaire, bien ferme, bien dressée, bien bandée. Je lèche son téton, le suce, jusqu’à voir mon beauf caresser l’autre de sa main dégoulinante de mouille. Il recouvre sa mamelle de ce liquide puis lèche son sein pointé comme un obus. Je devine alors que sa chatte est libre et m’empresse d’y glisser ma main. Elle dégouline cetteputain, j’ai les doigts trempes de son jus, et j’imite mon beauf; je caresse le sein qui est de mon côté, le recouvre de sa crème, puis le lèche, le suce. Ma main revient ...
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