Maud, en vacances
Datte: 21/06/2017,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
cocus,
cérébral,
revede,
pénétratio,
confession,
couple+h,
extraconj,
... après ?— Après, il a touché mes seins.— Et là aussi, tu l’as laissé faire ?— …— Tu ne réponds plus ?— Je suis désolée.— Donc tu l’as laissé poser ses sales pattes sur tes seins ? C’est ça ?— Oui… un peu.— Et après ?— J’ai pas eu le temps de réagir. Il a aussi mis sa main sous ma jupe.— Sur ton sexe ?— Oui— Eh bé !— Je suis désolée.— Tu te plains qu’il te fasse des avances, mais tu le laisses t’embrasser, te caresser les seins, mettre sa main dans ta culotte, te baiser aussi peut-être ?— Nonnnnnnnnnn ! j’ai pas voulu. Il a essayé, mais j’ai pas voulu. Il a voulu me pénétrer, mais je l’ai giflé et il est parti ! Je suis au bord des larmes. Je ferme les yeux pour essayer de me retenir. Je sens Alain qui s’approche de moi. J’ai peur qu’il m’insulte, qu’il me secoue, mais je sens ses mains sur mes épaules, puis ses lèvres sur ma bouche. Il m’embrasse tendrement, et passe une main sous ma jupe. Je n’ai pas eu le temps de serrer les cuisses. — Mais tu mouilles, me dit-il en prenant mon visage par le menton, me regardant droit dans les yeux.— …— Tu as eu envie de lui ?— …— Avoue que tu as eu envie de lui !— … Je n’ose pas, je ne peux pas. Alain a repris ses caresses sur mon sexe. Ses doigts me fouillent, il me fait du bien. Je ferme à nouveau les yeux et je le laisse me masturber. Je sens son gland sur ma bouche. Il bande dur. Ça ne lui a pas coupé la chique. — Ton silence est un aveu. Tu as eu envie de lui, c’est évident.— J’ai honte.— Pourquoi tu as honte. C’est normal non ?— Non. ...
... Je suis une femme fidèle.— On peut être fidèle et avoir envie.— Je suis désolée.— Arrête d’être désolée. Assume. Alain m’a parlé avec dureté. Il s’est reculé, et l’air fâché, s’est habillé en me regardant. — Rajuste-toi, on va à l’apéro. Je n’ai pas le cœur à lutter. Je le suis. Franck est au bar, debout, en train de discuter avec un serveur. Alain nous fait asseoir à une table de quatre et fait signe à Franck de nous rejoindre. Le jeune semble hésiter. Il s’est départi de son habituel sourire narquois. Il vient comme un mec timide qui va se faire sermonner. — Alors comme ça on essaie de baiser ma femme ? Je regarde ailleurs. Je dois être rouge vif. J’ai chaud. J’ai honte. Je voudrais être ailleurs. Franck est assis, le regard qui pointe sur ses pieds. Alain le toise et insiste. J’ai peur que ça finisse en baston. — Tu lui trouves quoi à Maud ?— Je suis désolé, Alain. Je pensais que vous étiez open.— Open ?— Bah oui. Tu l’as laissé danser avec moi plusieurs fois. Tu nous as laissés seuls souvent. J’ai pensé que tu me laissais le champ libre…— Alors pour toi dès qu’un mec s’éloigne de sa femme, c’est une autorisation pour la séduire ?— Bah, c’est assez souvent le cas ici. Il y a des maris qui aiment bien que leur femme plaise.— J’avoue. Je ne déteste pas que ma femme plaise. Mais ce n’est pas une raison pour essayer de la violer !— Je n’ai pas essayé de la violer ! N’est-ce pas Maud ? Elle m’a laissé entrer !— Oui, je sais. Elle t’a laissé entrer, la toucher, l’embrasser. Et ...